Le Niger et le Mali sont les endroits les plus difficiles sur terre pour les filles

La pauvreté est sexiste. Mais où est ce que dans le monde est-il plus difficile d'être né fille? Aujourd'hui à cette occasion : la Journée internationale de la femme (8 Mars) le “ONE Campaign” ( http://www.one.org/fr/blog/ ) dans un rapport a révélé qu’ au Niger la femme a 1 chance sur 20 de mourir à la naissance dans sa vie, alors que 93% des filles au Mali ne seraient jamais allée à l'école ? lire le rapport en entier (en anglais) en cliquant sur le lien ci-dessous:
http://one_org_international.s3.amazonaws.com/international/media/international/2016/03/05003440/PovertySexist_2016.pdf
Si vous voulez vous joindre à la campagne , cliquez ici:
http://act.one.org/sign/pauvrete_est_sexiste_lettre


Niger and Mali are the most difficult places on earth for girls

Poverty is sexist. But where in the world is it toughest to be born a girl? On the occasion of today’s: International Women’s Day (8 March) the “One Campaign” ( http://www.one.org/international/blog/ ) has issued a report revealing that a woman in Niger has a 1 in 20 chance of dying in childbirth in her lifetime while 93% of girls in Mali will never attend school?
Read more the entire report (in English) here:
http://one_org_international.s3.amazonaws.com/international/media/international/2016/03/05003440/PovertySexist_2016.pdf
If you want to join the campaign click here:
http://act.one.org/sign/poverty_is_sexist_letter/

Musique, réflexion et poésie au menu de la Journée Internationale de la Femme à Niamey


Comme partout à travers le monde, la Journée Internationale de la Femme était fêtée le 8 mars au Niger. Le thème de cette année était : « Autonomisation de la femme – Autonomisation de l’humanité : Imaginez ! ». Dans ce cadre l’UNHCR a organisé des festivités dans toutes les zones au Niger où sont présentes les réfugiées. A Niamey, s’est tenue une après-midi de musique et de réflexion autour de la participation des femmes dans les structures de leadership et de la situation particulière des femmes, et des filles, réfugiées. Entre les interludes artistiques, la parole était prise par les femmes notamment Haja, représentante des femmes réfugiées artisanes de Niamey, qui mettait en avant la force du collectif dans les groupements féminins ; ou encore Awa, jeune réfugiée de 17 ans, qui partageait avec le public un poème écrit pour l’occasion « Femme d’angoisse, femme d’abondance, femme d’amour, femme de souffrance ; je te chante et je te bénis, et je te chanterai toute ma vie ». Pour écouter l’intégralité du poème de Awa : cliquez sur la vidéo.