Last Updated: Friday, 19 May 2023, 07:24 GMT

Ouganda : 1) Est-ce que les Ougandais ont besoin de permis ou visas de sortie pour quitter l'Ouganda, 1983? 2) Conséquences d'un retour en Ouganda après un départ illégal

Publisher Canada: Immigration and Refugee Board of Canada
Author Direction des recherches, Commission de l'immigration et du statut de réfugié, Canada
Publication Date 26 October 1989
Citation / Document Symbol UGA2435
Cite as Canada: Immigration and Refugee Board of Canada, Ouganda : 1) Est-ce que les Ougandais ont besoin de permis ou visas de sortie pour quitter l'Ouganda, 1983? 2) Conséquences d'un retour en Ouganda après un départ illégal, 26 October 1989, UGA2435, available at: https://www.refworld.org/docid/3ae6ab9048.html [accessed 21 May 2023]
DisclaimerThis is not a UNHCR publication. UNHCR is not responsible for, nor does it necessarily endorse, its content. Any views expressed are solely those of the author or publisher and do not necessarily reflect those of UNHCR, the United Nations or its Member States.

 

1) Selon le Ministère canadien des Affaires extérieures à Ottawa, les personnes qui faisait une demande de visa en 1983 étaient l'objet d'emprisonnement et même d'exécution sommaire [ Conversation téléphonique du 3 novembre 1989.]. Selon le spécialiste de l'Ouganda au Haut commissariat aux réfugiés à Genève, à aucun moment de son histoire depuis l'indépendance les Ougandais ont eu à se procurer des permis de sortie pour quitter leur pays [ Conversation téléphonique (appel international) du 3 novembre 1989.]. Cependant, au début des années 1980 sous le gouvernement Oboté, les personnes dans un véhicule traversant une frontière internationale pour quitter l'Ouganda devaient se procurer un permis spécial [ Idem.].

2) Certains dirigeants de l'opposition et dissidents connus retournent aujourd'hui en Ouganda sans problèmes majeurs, d'après le Haut commissariat de l'Ouganda à Ottawa [ Conversation téléphonique du 3 novembre avec un représentant du Ministère des Affaires extérieures du Canada.]. Le Haut commissariat aux réfugiés, quand à lui, observe que un départ illégal ne constituerait pas en lui-même une offense punissable de sanctions, mais c'est plutôt l'affiliation politique du requérant qui serait sujet à un traitement particulier lors du retour [ UNHCR à Genève, idem.].

NOTES

Copyright notice: This document is published with the permission of the copyright holder and producer Immigration and Refugee Board of Canada (IRB). The original version of this document may be found on the offical website of the IRB at http://www.irb-cisr.gc.ca/en/. Documents earlier than 2003 may be found only on Refworld.

Search Refworld

Countries

Topics