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Ghana : information sur la présence de sectes et les conséquences associées au refus d'adhérer à l'un de ces groupes; information sur l'attitude du gouvernement à l'égard de ces groupes et les mesures qu'il a prises et, le cas échéant, sa réponse aux violations des droits de la personne (2004-2006)

Publisher Canada: Immigration and Refugee Board of Canada
Author Direction des recherches, Commission de l'immigration et du statut de réfugié du Canada, Ottawa
Publication Date 11 October 2006
Citation / Document Symbol GHA101612.EF
Cite as Canada: Immigration and Refugee Board of Canada, Ghana : information sur la présence de sectes et les conséquences associées au refus d'adhérer à l'un de ces groupes; information sur l'attitude du gouvernement à l'égard de ces groupes et les mesures qu'il a prises et, le cas échéant, sa réponse aux violations des droits de la personne (2004-2006), 11 October 2006, GHA101612.EF, available at: https://www.refworld.org/docid/47d65199c.html [accessed 29 May 2023]
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Selon un article paru dans The Ghanaian Chronicle, [traduction] « [l]a majorité des Ghanéens croit aux jujus (fétiches), aux fantômes, à la magie noire, aux esprits malins et demande de l'aide aux féticheurs ou à d'autres spécialistes de la spiritualité dans leur localité » (15 déc. 2005). Toutefois, l'article ajoute [traduction] « que croire et pratiquer sont deux choses différentes et que de nombreux Ghanéens ressentent de l'aversion vis-à-vis des sanctuaires, du fétichisme et des personnes ayant recours à la magie noire » (The Ghanaian Chronicle 15 déc. 2005). L'article se poursuit en expliquant que les sanctuaires sont considérés comme [traduction] « des lieux de culte sacrés » (ibid.). Les sanctuaires sont utilisés pendant des cérémonies particulières au cours desquelles des offrandes sont faites aux dieux et aux ancêtres; certains s'y rendent pour demander des récoltes abondantes et que leur village soit protégé (ibid.). L'International Religious Freedom Report 2005 indique que, dans certaines régions du Ghana, de nombreuses personnes croient à la sorcellerie (É.-U. 8 nov. 2005, sect. I).

L'International Religious Freedom Report 2005 ajoute que, selon les religions traditionnelles indigènes du Ghana, il y a un [traduction] « Être suprême », qui peut être différent d'un groupe ethnique à l'autre (ibid.). Par exemple, les Akans appellent leur Être suprême Nyame alors que les Éwés l'appellent Mawu (ibid.; Worldmark Encyclopedia of Religious Practices 2006, 411). Selon le Worldmark Encyclopedia of Religious Practices, ces croyances religieuses font partie de la religion traditionnelle africaine (African traditional religion – ATR) (ibid.). Les croyants manifestent un profond respect à l'égard des ancêtres qui sont considérés comme les [traduction] « intermédiaires entre l'Être suprême et les êtres humains » (É.-U. 8 nov. 2005, sect. I; voir aussi Worldmark Encyclopedia of Religious Practices 2006, 411). Les fêtes annuelles varient d'un groupe ethnique à l'autre : les Akans célèbrent l'Odwira, les Gaadangbes, l'Homowo et les Efutus appellent leur fête l'Aboakyir (Worldmark Encyclopedia of Religious Practices 2006, 411).

Dans une communication écrite datée du 1er août 2006 et envoyée à la Direction des recherches, un professeur agrégé d'anthropologie de l'Université York, à Toronto, qui a mené des recherches sur le terrain au Ghana, notamment sur divers rituels, a fourni l'information suivante :

[traduction]

Tous les peuples du Ghana ont été exposés à [diverses] influences chrétiennes et musulmanes pendant ses centaines d'années d'histoire connue. Toutefois, les hôtes des « esprits », les prêtres et les sanctuaires de la religion « traditionnelle » – tous bien vivants dans le Ghana moderne, car les gens croient que leurs prières sont effectivement exaucées par les « puissances » traditionnelles – précèdent et complètent ces influences. Les forces spirituelles traditionnelles sont :

a) les ancêtres de chaque lignée ou clan : on considère qu'ils veulent encore récompenser et punir les comportements des membres en vie de ces groupes.

b) les « fétiches », c'est-à-dire les dieux ou les enfants du Grand Dieu (Nyame, pour les Akans). Ceux-ci jouent un rôle essentiel, ils se penchent sur les problèmes quotidiens alors que le Grand Dieu, comme on le croit aussi dans une grande partie de l'Afrique occidentale, a créé le monde [...] mais n'intervient habituellement pas directement dans la vie de tous les jours. Toutefois, des prières peuvent Lui être adressées. [C]haque fétiche du Ghana dispose de divers sanctuaires où des sacrifices sont effectués et où des prières sont récitées (pour une guérison, un accouchement réussi, etc.); on y trouve aussi des prêtres (et prêtresses) qui effectuent les sacrifices, qui peuvent communier avec le monde des esprits en entrant en transe au moyen de la danse chamanique et qui peuvent également avoir des connaissances au sujet des plantes médicinales locales et de leurs utilisations, etc. [I]l existe une association nationale des guérisseurs traditionnels et l'État les accepte. [A]u contraire, l'État du Ghana a appuyé la présence et le « développement professionnel » des féticheurs et des chamans, conformément aux politiques de [l'Organisation mondiale de la santé].

c) les « objets de puissance » ou « jujus », c'est-à-dire des objets physiques qui, selon la croyance, contiennent ou incarnent une puissance spirituelle qui protège son ou ses propriétaires. [I]l est important de souligner que certains de ces « objets » peuvent, avec le temps, acquérir une réputation grandissante sur le plan de l'efficacité pour la guérison, de la protection contre les sorcières, etc. Certains « objets » sont plus tard reconnus et acceptés comme des « dieux » ou des fétiches. De nombreux chrétiens pratiquants ([à l'exception des membres]) des Églises pentecôtistes plus jeunes [...] font aussi appel aux puissances spirituelles traditionnelles à certains moments cruciaux de leur vie. [P]our de nombreuses personnes au Ghana, l'affiliation religieuse est complémentaire et non pas exclusive. [Par exemple], un chrétien refusant le statut de chef ou de prêtre est néanmoins susceptible de craindre une certaine sorte de punition divine de la part des ancêtres, des dieux, ou d'un dieu en particulier. Les membres du reste de la communauté croiront vraisemblablement que la punition risque de les viser également. Comme je l'ai déjà dit, la religion et la chefferie traditionnelles ont des intérêts communs et des rôles complémentaires et, encore une fois, le rôle et le rôle communautaire de ceux-ci disposent de l'appui et de la reconnaissance de l'État, qui ne s'y oppose pas.

Chaque hameau, village, clan, ville, peuple et région vénère de très nombreux dieux dont certains sont particuliers à une communauté ethnique. Il existe aussi des panthéons, qui ont une réputation beaucoup plus étendue et des fidèles partout au Ghana. [...] [À] l'occasion, de « nouveaux » dieux, ou fétiches, se révèlent à une communauté ou peuvent être importés de l'étranger; le Ghana a une vie spirituelle dynamique. Certains de ces fétiches, ou dieux, peuvent être spécialistes de la guérison de certains problèmes (p. ex. l'impotence ou la stérilité) ou peuvent être perçus comme particulièrement efficaces pour protéger les gens contre les sorcières ou pour « détruire » l'esprit des sorcières menaçant la communauté en particulier (d'où Nana [Chef] Tigare, Nana Kunde, etc.). [C]ertains sont grandement vénérés pour l'efficacité qu'ils ont démontrée au fil du temps (p. ex. Nana Brukum, Nana Krachi-Dente, etc.). Tous ces dieux offrent des explications utiles à leurs fidèles ou à ceux qui les implorent. Ils peuvent faire ce que la médecine « scientifique » occidentale ne peut pas : les puissances traditionnelles peuvent nommer et expliquer exactement pourquoi ce malheur en particulier vous frappe, vous ou votre famille ou votre clan, à ce moment-là et de cette façon; ils peuvent également montrer les démarches à entreprendre pour obtenir une « guérison » ou vous rassurer. Il existe des centaines de dieux et de puissances; il n'est pas possible de fournir une liste exhaustive pour une région en particulier. [I]ls sont partout et les Ghanéens les invoquent, car ils pensent que ces prières donnent des résultats.

En ce qui concerne l'attitude du gouvernement à l'égard des sectes, le professeur agrégé a ajouté ce qui suit :

[traduction]

J'ai répondu à cette question avant. Le gouvernement ghanéen « accepte » que les citoyens continuent de recourir massivement à la « religion traditionnelle ». De plus, ce n'est pas uniquement au regard du caractère « privé » de la foi d'une personne, mais aussi parce que l'État profite de ces pratiques traditionnelles d'au moins deux façons :

a) Il n'est pas rare que des politiciens sur la scène nationale demandent la bénédiction et l'appui de divinités particulières (p. ex. en période électorale), pour les aider à accéder au pouvoir grâce à des électeurs potentiels.

b) L'État ghanéen appuie et encourage activement les chefs et les prêtres traditionnels à accomplir des cérémonies « traditionnelles » en public dans le cadre des efforts de l'État pour favoriser le tourisme international au Ghana. L'État fait de la publicité pour encourager les groupes de voyageurs à visiter divers festivals annuels à l'intention des dieux régionaux (p. ex. Fetu Afahye de Cape Coast) et à y participer (et à y dépenser de l'argent) dans le cadre de la présentation de l'État sur la « culture ghanéenne » à l'échelle internationale. En résumé, l'État appuie généralement l'expression des pratiques et croyances traditionnelles [...].

[...] en définitive, un nombre très important de citoyens et le gouvernement ont accepté que de telles croyances et de tels rituels se perpétuent et ils ont intérêt à ce qu'il en soit ainsi, car il y a là un enjeu important. [P]ar exemple, si un prêtre dans un village commet un écart de conduite, les membres de la population locale disposent de plusieurs moyens pour demander réparation; ils peuvent se présenter à la police locale, intenter des poursuites judiciaires, cesser d'aller au sanctuaire de cette organisation en particulier et cesser de lui verser des contributions, demander à des chamans, des prêtres ou des dieux rivaux d'imposer une sanction spirituelle à la personne fautive en lui donnant une maladie, par exemple, ou en contrecarrant ses plans, etc. La personne fautive s'attend à ce que de telles mesures soient prises pour la punir; il existe donc déjà un mécanisme de freins et contrepoids dans le système de croyances.

En réponse aux questions concernant la façon dont un individu devient membre d'une secte, le professeur agrégé a fourni l'information suivante dans une communication écrite datée du 1er août 2006 :

[traduction]

Comme mentionné plus tôt, les croyances traditionnelles concernant les ancêtres et les dieux ou fétiches sont répandues et se rencontrent aussi dans toutes les classes de la société, y compris parmi les membres de l'élite « chrétienne » instruite. Le terme de « sectes » est insuffisant pour traduire le fait que leurs pouvoirs sont reconnus par la société, présents dans l'histoire et [perçus comme] efficaces. En général, au niveau local (village, clan, etc.), il existe plusieurs façons de s'attacher à un féticheur particulier et devenir membre de la communauté qui le vénère. On devient membre d'une de ces communautés par tradition familiale, tout comme certaines personnes ici sont baptistes ou catholiques de famille. Être membre d'un groupe qui « possède » un certain pouvoir ou qui est responsable du sanctuaire local est une autre façon; il s'agit d'une « entreprise familiale » en quelque sorte. [L]es croyants reconnaissants et les suppliants peuvent faire des offrandes au sanctuaire en guise de remerciements pour des prières exaucées, et donner en même temps un réel élan à l'économie et aux entreprises locales (vendeurs de bières, propriétaires de gîte, etc.) qui profitent du passage de centaines, voire de milliers de personnes qui assistent au festival annuel d'un dieu en particulier. Parce que l'enjeu économique est d'une telle importance pour la communauté locale, [u]ne personne qui refuse la prêtrise ne sera pas la bienvenue. [U]ne autre façon [de devenir membre de la communauté d'un féticheur] est de simplement se présenter comme membre de la « congrégation » au moment de la prière et de l'offrande. [U]ne autre façon est d'avoir été guéri d'une maladie grave par des prières offertes à un dieu particulier : la conclusion d'un tel événement pourrait être que vous devez demeurer membre de la communauté de ces croyants. Selon la méthode habituelle, [on croit qu']une personne est née (réincarnée) dans sa vie actuelle grâce aux prières adressées au dieu ou au sanctuaire x, y ou z, et on s'attend à ce que cette personne « serve » ce dieu en tant que croyant. Selon une autre croyance, quand une personne gravement malade est guérie, c'est le signe qu'un dieu en particulier « demande » à cette personne de devenir l'un de ses prêtres, etc. Il existe donc des croyances différentes et divers degrés « d'appartenance », et [la foi] n'est pas toujours exclusive (une personne peut également être anglicane pratiquante, etc.).

Conséquences associées au refus d'appartenir à une « secte »

En ce qui concerne les conséquences associées au fait de refuser d'appartenir à une « secte », le professeur agrégé a également ajouté ce qui suit dans une communication écrite en date du 2 août 2006 :

[traduction]

Comme je l'ai mentionné, s'il est question d'un poste de chef ou de prêtre important, les pressions de la société seront très fortes pour que cette personne accepte le poste et accomplisse les tâches qui y sont associées. Toutefois, s'il s'agit uniquement d'être un membre « ordinaire », la pression de la société ne sera pas aussi importante, selon moi. Il est vrai que, si une personne vit dans un petit village, les pressions quotidiennes des autres résidents du village pour qu'elle « réponde » à leurs attentes (pas uniquement celles concernant la croyance religieuse) peuvent bien être fortes et prendre la forme de réprobations. Dans le même ordre d'idées, si la naissance même d'une personne est attribuable au fait que ses parents ont sollicité l'aide d'un dieu ou d'un sanctuaire particulier au regard de la fertilité et que ceux-ci ont « promis » cette personne au dieu, elle deviendra alors une fidèle pour le reste de sa vie. [E]ncore une fois, certaines pressions familiales fortes peuvent persister et être rappelées à la personne par une maladie, un malheur ou un manque de succès [dans] sa vie. Un devin peut alors expliquer ces événements en incitant la personne à « reprendre » son statut de croyant ou de fidèle de ce dieu ou de ce sanctuaire. [B]ien sûr, si aucune maladie ni aucun malheur ne vient affliger la vie de la personne, elle peut alors continuer à être « non croyante » dans sa vie quotidienne.

Par ailleurs, le mot « secte » n'est pas utile dans ce contexte. Pour la majorité des Nord-Américains, qualifié quelque chose de « secte » signifie que :

a) c'est un système de croyances marginal;

b) c'est un système de croyances erroné;

c) vous risquez d'être « piégé » dans ce système, d'être incapable d'en « sortir » et de tout perdre au profit de la secte;

d) que vous avez été, ou que vous continuez d'être, « endoctriné »; ainsi, votre statut de membre a été acquis de façon « irréfléchie » et est exclusif.

Toutefois, de telles notions concernant les « sectes » ne s'appliquent généralement pas, [je] répète, ne s'appliquent généralement pas aux congrégations des dieux ou fétiches du Ghana. Comme je l'ai dit, la croyance en les fétiches ou les dieux (obosom/abosom) est très répandue au Ghana et est largement acceptée dans la société (y compris par l'État); dans l'histoire, les sources évoquant ce sujet remontent très loin dans le temps et cette foi n'exige généralement pas d'exclusivité. [S]elon mon expérience, la majorité des Ghanéens, même chrétiens ou musulmans, reconnaissent effectivement en privé que la religion traditionnelle possède certains mérites et constitue une certaine réalité, « vérité » et démontre une certaine efficacité et l'acceptent. Il y a une exception notable : la majorité [...] des membres des Églises charismatiques et pentecôtistes, lesquelles ont connu récemment un regain d'activité, qui prêchent avec véhémence contre les « fétiches ». Toutefois, les Églises des courants dominants, comme l'Église anglicane, l'Église catholique et l'Église presbytérienne, etc. s'accommodent souvent des pratiques traditionnelles et certaines églises les ont même incorporées dans leurs propres services religieux.

Pour la plupart, la « foi » n'est pas « exclusive ». Il est accepté et courant qu'une personne croie en plusieurs ou en un ensemble de puissances, fétiches ou dieux traditionnels et leur soit fidèle. De plus, cette même personne peut également partager certaines croyances chrétiennes et pratiquer certains rituels chrétiens. La plupart des « traditionalistes » ne se considèrent pas comme « obligés » de croire en un dieu unique et de lui être fidèles. Toutefois, ils peuvent avoir une préférence ou leur fidélité peut changer en fonction de la nature du [...] problème qu'ils doivent affronter à un moment donné, car certains féticheurs ont des spécialités et une réputation propres qui fait qu'ils se montrent efficaces pour régler certains problèmes, mais pas d'autres. Les gens ne sont pas non plus « contraints » par la force d'adopter une croyance. Tout dépend plutôt de la personne concernée et de son problème : se sent-elle mentalement apte à gérer le stress psychologique ou les inquiétudes associés au fait qu'une personne – un prêtre, par exemple – pratique la « sorcellerie » sur elle parce qu'elle ne fait pas ce qu'on attend d'elle. Cette même personne a aussi la possibilité de solliciter l'aide ou l'intervention d'un chaman, d'un prêtre ou d'un dieu encore plus puissant pour contrecarrer le dessein de la personne crainte [...] (2 août 2006).

Aucune information corroborante sur le sujet n'a pu être trouvée parmi les sources consultées par la Direction des recherches.

Cette réponse a été préparée par la Direction des recherches à l'aide de renseignements puisés dans les sources qui sont à la disposition du public, et auxquelles la Direction des recherches a pu avoir accès dans les délais prescrits. Cette réponse n'apporte pas, ni ne prétend apporter, de preuves concluantes quant au fondement d'une demande d'asile. Veuillez trouver ci-dessous la liste des autres sources consultées pour la réponse à cette demande d'information.

Références

États-Unis (É.-U.). 8 novembre 2005. Department of State. « Ghana ». International Religious Freedom Report 2005. [Date de consultation : 24 juill. 2006]

Professeur agrégé d'anthropologie, York University, Toronto. 2 août 2006. Communication écrite.
_____. 1er août 2006. Communication écrite.

The Ghanaian Chronicle [Accra]. 15 décembre 2005. Lovelace Opoku-Agyemang. « The Significance of Ghanaian Cultural Heritage ». (Factiva)

Worldmark Encyclopedia of Religious Practices. 2006. Vol. 2. « Ghana ». Sous la direction de Thomas Riggs. Farmington Hills, MI : Thomson Gale.

Autres sources consultées

Sources orales : Un chargé de cours de l'École d'études orientales et africaines (School of Oriental and African Studies) de l'Université de Londres, un professeur du Collège Camosun en Colombie-Britannique, un professeur de l'Université de Toronto, un professeur de l'Université York, deux professeurs de l'Université de l'Indiana, un professeur de l'Université de l'Illinois, un professeur de l'Université de Pennsylvanie et deux professeurs de l'Université du Ghana n'ont pas répondu à une demande d'information dans les délais prescrits.

Le Centre d'études africaines (African Studies Centre) de l'Université de Cambridge et deux professeurs de l'Université de Pennsylvanie n'avaient pas d'information sur le sujet.

Les tentatives faites pour joindre la Commission africaine des promoteurs de la santé et des droits de l'homme ont été infructueuses.

Publication : Worldmark Encyclopedia of Religious Practices.

Sites Internet, y compris : Accra Daily Mail, Afrikan Renaissance Mission, Afrikania Mission, Amnesty International (AI), Christian Solidarity Worldwide, Commission on Human Rights and Administrative Justice Ghana, European Country of Origin Information Network (ecoi.net), Factiva, Forum 18, Freedom House, GhanaMissions, Ghana Review International, GhanaHomePage, The Ghanaian Chronicle, Haut-Commissariat des Nations Unies aux droits de l'homme (HCDH), Human Rights Watch (HRW), Jeuneafrique.com, National Commission on Culture [Ghana], Réseaux d'information régionaux intégrés (IRIN), World News Connection.

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