À propos de Helena 

Le mannequin et photographe Helena Christensen soutient le HCR depuis 2015. Elle a été nommée Ambassadrice de bonne volonté en juin 2019.

Helena possède l’un des visages les plus reconnaissables au monde. Elle a aussi acquis une réputation internationale et un grand respect dans le monde de la photographie. En collaboration avec le HCR, elle utilise sa créativité pour raconter les histoires des réfugiés et faire entendre la voix des personnes déplacées.

Helena s’est rendue avec le HCR au Rwanda en octobre 2018, où elle a rencontré des réfugiés qui avaient récemment fui la violence et les persécutions au Burundi. Par le biais d'un important travail photographique et de reportages écrits, elle a soutenu l’appel lancé par le HCR pour obtenir des fonds supplémentaires afin de fournir des abris et de la nourriture ainsi que de répondre aux besoins quotidiens des réfugiés dans le cadre de l’une des crises de réfugiés les plus ignorées et sous-financées du monde.

En mars 2017, Helena a voyagé avec le HCR en Ukraine pour recueillir les récits de certaines personnes déplacées à cause du conflit sévissant à l’est du pays, soit près d’un million au total, dont plus de 500 000 personnes vulnérables et âgées. Cette vidéo raconte la rencontre entre Helena et Oleg, un véritable super héro qui risque sa vie pour venir en aide aux personnes forcées de fuir à cause du conflit. Helena a partagé ses réflexions sur son voyage dans les médias internationaux et sur les medias sociaux.  

En prévision de la Journée mondiale 2015 du réfugié, Helena s’était rendue en Colombie avec le HCR pour raconter les parcours de femmes déplacées vivant en milieu rural ou urbain, y compris dans les bidonvilles à la périphérie de Bogota. « M’appuyant sur ce que je sais faire, j’ai voulu créer une tribune pour les récits de ces femmes, qui sont à la fois choquants et sources d’inspiration », disait-elle. Les images de Helena ont été publiées partout dans le monde.

Helena a contribué à un film largement diffusé sur les réseaux sociaux qui souligne les différences importantes entre les réfugiés et les migrants ainsi que la protection différente que leur confère le droit international

 

  •  © HCR/Hector Perez
  • Eugenie Manirafasha, 23 ans, est une réfugiée de la RDC, mais elle a vécu presque toute sa vie dans le camp de réfugiés de Kiziba au Rwanda. Elle va bientôt obtenir son diplôme de l'Université Kepler, partenaire du HCR au Rwanda, qui dispense un enseignement supérieur aux jeunes locaux et réfugiés, avec un cursus en commerce et en communication. Elle rêve de pouvoir aider les artisans, les couturières et les designers des camps de réfugiés à vendre leurs produits à l'extérieur des camps. « Je sens que cette éducation aura un grand impact dans ma vie, et j'espère qu'elle me permettra de devenir une grande personne, qui pourra s'aider elle-même, aider ma famille et même la communauté ». Helena a rencontré Eugénie à Kigali, au Rwanda. Ensemble, elles ont visité le marché local de Kigali, en regardant les tissus, les vêtements et les produits artisanaux locaux.
    Eugenie Manirafasha, 23 ans, est une réfugiée de la RDC, mais elle a vécu presque toute sa vie dans le camp de réfugiés de Kiziba au Rwanda. Elle va bientôt obtenir son diplôme de l'Université Kepler, partenaire du HCR au Rwanda, qui dispense un enseignement supérieur aux jeunes locaux et réfugiés, avec un cursus en commerce et en communication. Elle rêve de pouvoir aider les artisans, les couturières et les designers des camps de réfugiés à vendre leurs produits à l'extérieur des camps. « Je sens que cette éducation aura un grand impact dans ma vie, et j'espère qu'elle me permettra de devenir une grande personne, qui pourra s'aider elle-même, aider ma famille et même la communauté ». Helena a rencontré Eugénie à Kigali, au Rwanda. Ensemble, elles ont visité le marché local de Kigali, en regardant les tissus, les vêtements et les produits artisanaux locaux.  © HCR/Hector Perez
  • La tribu indigène Makaguan est presque physiquement et culturellement éteinte après avoir été obligée de fuir ses réserves à plusieurs reprises. Ils vivent actuellement à proximité d'une base militaire qui est la cible de groupes de guérilla, ce qui les rend très vulnérables aux attaques.
    La tribu indigène Makaguan est presque physiquement et culturellement éteinte après avoir été obligée de fuir ses réserves à plusieurs reprises. Ils vivent actuellement à proximité d'une base militaire qui est la cible de groupes de guérilla, ce qui les rend très vulnérables aux attaques.  © HCR/Helena Christensen
  • Helena photographie un match de basket-ball dans le camp de réfugiés de Mahama où les garçons et les filles jouent ensemble.
    Helena photographie un match de basket-ball dans le camp de réfugiés de Mahama où les garçons et les filles jouent ensemble.  © HCR/Hector Perez
  • Helena Christensen photographie l'environnement urbain de Sloviansk, qui est encore très endommagé à la suite du récent conflit en Ukraine.
    Helena Christensen photographie l'environnement urbain de Sloviansk, qui est encore très endommagé à la suite du récent conflit en Ukraine.  © HCR/Hector Perez
  • Helena a voyagé avec le HCR au Rwanda pour rencontrer des réfugiés burundais et en apprendre davantage sur l'une des crises de réfugiés les plus sous-financées au monde. Ceci fait partie d'une série d'images qu'Helena a prises des personnes habitant et des environnements du camp de réfugiés de Mahama.
    Helena a voyagé avec le HCR au Rwanda pour rencontrer des réfugiés burundais et en apprendre davantage sur l'une des crises de réfugiés les plus sous-financées au monde. Ceci fait partie d'une série d'images qu'Helena a prises des personnes habitant et des environnements du camp de réfugiés de Mahama.  © HCR/Helena Christensen
  • Maria a eu une vie vraiment remarquable. Elle a été déplacée pendant la Seconde Guerre mondiale à l'âge de 16 ans seulement et a passé trois ans en Allemagne. Elle a déménagé en 1964 dans la maison où elle vit encore aujourd'hui, près du village où elle est née. Son mari travaillait pour le gouvernement et on lui a offert un appartement, mais ils ont insisté pour acheter la maison. La moitié de sa maison a été détruite par les bombardements en 2014 alors qu'elle se cachait au sous-sol. Lorsque quelqu'un lui a suggéré de déménager, elle a répondu : « Non, je suis désolée. C'est mon choix. C'est ici que je veux vivre ». Elle n'avait pas les moyens de faire des réparations mais le HCR a réparé le toit, l'extérieur, les fenêtres et isolé sa maison. Elle est très heureuse. Elle dit qu'elle a été une bonne personne toute sa vie et elle espère avoir rendu le monde un peu meilleur. Elle vit avec sa fille Olga, 60 ans, et son petit-fils Dimitri, 31 ans (et le chat Markiz).
    Maria a eu une vie vraiment remarquable. Elle a été déplacée pendant la Seconde Guerre mondiale à l'âge de 16 ans seulement et a passé trois ans en Allemagne. Elle a déménagé en 1964 dans la maison où elle vit encore aujourd'hui, près du village où elle est née. Son mari travaillait pour le gouvernement et on lui a offert un appartement, mais ils ont insisté pour acheter la maison. La moitié de sa maison a été détruite par les bombardements en 2014 alors qu'elle se cachait au sous-sol. Lorsque quelqu'un lui a suggéré de déménager, elle a répondu : « Non, je suis désolée. C'est mon choix. C'est ici que je veux vivre ». Elle n'avait pas les moyens de faire des réparations mais le HCR a réparé le toit, l'extérieur, les fenêtres et isolé sa maison. Elle est très heureuse. Elle dit qu'elle a été une bonne personne toute sa vie et elle espère avoir rendu le monde un peu meilleur. Elle vit avec sa fille Olga, 60 ans, et son petit-fils Dimitri, 31 ans (et le chat Markiz).  © HCR/Helena Christensen
  •  © HCR/Helena Christensen
  • Maribeth Palacios, 41 ans, travaille et vit dans le quartier de Altos de La Florida comme cuisinière et professeur de danse traditionnelle. Elle a quatre enfants de 19, 8, 8 et 6 ans. Marilyn étudie à l'école du quartier. Elle aide aussi sa mère à faire la cuisine car sa mère vend des tamales, un plat traditionnel. Maribeth aime la danse traditionnelle et l'enseigne dans le quartier. Elle dit que cela la rend heureuse: « mon esprit est libre quand je danse et que je suis dans un autre monde ». Maribeth rêve d'ouvrir son propre restaurant traditionnel à Bogota et de donner d'autres cours de danse.
    Maribeth Palacios, 41 ans, travaille et vit dans le quartier de Altos de La Florida comme cuisinière et professeur de danse traditionnelle. Elle a quatre enfants de 19, 8, 8 et 6 ans. Marilyn étudie à l'école du quartier. Elle aide aussi sa mère à faire la cuisine car sa mère vend des tamales, un plat traditionnel. Maribeth aime la danse traditionnelle et l'enseigne dans le quartier. Elle dit que cela la rend heureuse: « mon esprit est libre quand je danse et que je suis dans un autre monde ». Maribeth rêve d'ouvrir son propre restaurant traditionnel à Bogota et de donner d'autres cours de danse.  © HCR/Helena Christensen
  • Vera vit seule dans la maison qu'elle a achetée avec son mari en 1969. Il est mort il y a 5 ans. Il était l'amour de sa vie et elle a des souvenirs heureux de leur vie ensemble dans la maison avec leurs fils. Lorsque sa maison a été bombardée pendant les combats en 2014, elle a été extrêmement chanceuse car sa chambre a été complètement détruite quelques instants après s'être levée du lit. Elle est très reconnaissante envers le HCR pour la réparation de sa maison - elle ne pouvait pas imaginer ce qu'elle aurait fait autrement. Lorsqu'elle a vu les dégâts causés par les bombardements, elle a pleuré pendant longtemps. Mais pouvoir vivre à nouveau ici est une des plus belles choses de sa vie - cette maison représente tout pour elle.
    Vera vit seule dans la maison qu'elle a achetée avec son mari en 1969. Il est mort il y a 5 ans. Il était l'amour de sa vie et elle a des souvenirs heureux de leur vie ensemble dans la maison avec leurs fils. Lorsque sa maison a été bombardée pendant les combats en 2014, elle a été extrêmement chanceuse car sa chambre a été complètement détruite quelques instants après s'être levée du lit. Elle est très reconnaissante envers le HCR pour la réparation de sa maison - elle ne pouvait pas imaginer ce qu'elle aurait fait autrement. Lorsqu'elle a vu les dégâts causés par les bombardements, elle a pleuré pendant longtemps. Mais pouvoir vivre à nouveau ici est une des plus belles choses de sa vie - cette maison représente tout pour elle. © HCR/Helena Christensen
  • Helena Christensen a voyagé avec le HCR au Rwanda pour rencontrer des réfugiés burundais et en apprendre davantage sur l'une des crises de réfugiés les plus sous-financées au monde. Ceci fait partie d'une série de portraits qu'Helena a réalisés sur les personnes qu'elle a rencontrées dans le camp de réfugiés de Mahama. Leatitia, Elvira et Giselle (de gauche à droite) sont toutes des mannequins de l'agence Top Family Models et elles participaient à un défilé de mode dans le camp de Mahama aux côtés d'Helena Christensen.
    Helena Christensen a voyagé avec le HCR au Rwanda pour rencontrer des réfugiés burundais et en apprendre davantage sur l'une des crises de réfugiés les plus sous-financées au monde. Ceci fait partie d'une série de portraits qu'Helena a réalisés sur les personnes qu'elle a rencontrées dans le camp de réfugiés de Mahama. Leatitia, Elvira et Giselle (de gauche à droite) sont toutes des mannequins de l'agence Top Family Models et elles participaient à un défilé de mode dans le camp de Mahama aux côtés d'Helena Christensen.  © HCR/Helena Christensen
  • Helena Christensen a voyagé avec le HCR au Rwanda pour rencontrer des réfugiés burundais et en apprendre davantage sur l'une des crises de réfugiés les plus sous-financées au monde. Ceci fait partie d'une série de portraits qu'Helena a réalisés des personnes qu'elle a rencontrées dans le camp de réfugiés de Mahama.
    Helena Christensen a voyagé avec le HCR au Rwanda pour rencontrer des réfugiés burundais et en apprendre davantage sur l'une des crises de réfugiés les plus sous-financées au monde. Ceci fait partie d'une série de portraits qu'Helena a réalisés des personnes qu'elle a rencontrées dans le camp de réfugiés de Mahama.  © HCR/Helena Christensen
  • « J'ai rencontré l'inspirante Soreli Martinez, 15 ans. Soreli m'a dit qu'elle ne voulait pas se marier, mais qu'elle voulait suivre une formation pour devenir infirmière et qu'elle voulait aider les personnes malades ». « Beaucoup de gens de ma communauté tombent malades, car il y a des moustiques et des maladies. Je veux aider et avoir la liberté de prendre en charge ma propre vie ». « J'ai été touchée par Soreli et ses courageuses ambitions. En dépit du machisme et de la violence, elle veut changer les choses - c'est le sentiment prédominant partagé par toutes les femmes à qui j'ai parlé. En dépit de ces grandes difficultés, la lueur d'espoir et d'une vie meilleure pour elles et leurs enfants brillait encore ».
    « J'ai rencontré l'inspirante Soreli Martinez, 15 ans. Soreli m'a dit qu'elle ne voulait pas se marier, mais qu'elle voulait suivre une formation pour devenir infirmière et qu'elle voulait aider les personnes malades ». « Beaucoup de gens de ma communauté tombent malades, car il y a des moustiques et des maladies. Je veux aider et avoir la liberté de prendre en charge ma propre vie ». « J'ai été touchée par Soreli et ses courageuses ambitions. En dépit du machisme et de la violence, elle veut changer les choses - c'est le sentiment prédominant partagé par toutes les femmes à qui j'ai parlé. En dépit de ces grandes difficultés, la lueur d'espoir et d'une vie meilleure pour elles et leurs enfants brillait encore ».  © HCR/Helena Christensen

 

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