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Depuis le 1er janvier, chaque jour, en moyenne 4000 personnes ont été forcées de fuir leur foyer en raison des attaques commises dans la régions.

Plus de 900 000 personnes auraient déjà fui leurs foyers ou leurs abris à Idlib ces derniers mois. Des millions de civils se trouveraient actuellement dans le nord-ouest de la Syrie. Beaucoup se trouvent en situation de déplacement depuis des années et ont été forcés de fuir à plusieurs reprises.

Depuis début décembre, environ 700 000 personnes ont fui les zones de conflit dans les gouvernorats syriens d’Idlib et d’Alep.

Depuis plus de 40 ans, le peuple afghan fuit la violence, la guerre, les conflits et les catastrophes naturelles. 2,4 millions de réfugiés ont trouvé refuge au Pakistan et en Iran seulement.

Dans l’ensemble, la région, où la situation sécuritaire se détériore, accueille déjà plus d’un million de réfugiés et de personnes déplacées à l’intérieur du pays.

Les centres de réception des îles de Lesbos, Chios, Samos, Kos et Leros sont dangereusement surpeuplés. Le gouvernement grec est appelé à transférer des demandeurs d’asile et des migrants sur le continent.

Les permis de séjour permettent à plus de 100 000 personnes originaires du Venezuela de séjourner légalement dans le pays et ainsi d’accéder au marché du travail et au système de santé.

L’aggravation du conflit met en danger la sécurité des personnes hébergées dans le centre de rassemblement et de départ ainsi que celle du personnel.

Pour le HCR, cette décision a de profondes implications pour la protection internationale des personnes déplacées dans le contexte du changement climatique.

Le tout premier Forum mondial sur les réfugiés a attiré à Genève, du 16 au 18 décembre, 3000 participants venus du monde entier. Il avait pour objectif de trouver de nouvelles réponses aux besoins des millions de personnes déracinées par les guerres et les persécutions et de venir en aide aux communautés qui les accueillent.