Le chef du HCR lance un appel de fonds de 241 millions de dollars pour aider, dans le bassin du lac Tchad, les personnes déracinées par les violences des insurgés
Le Chef du HCR lance un appel de fonds après sa visite dans un camp de réfugiés au Cameroun
Filippo Grandi lance un appel de fonds pour l'aide aux réfugiés nigérians chassés de chez eux par les violences de Boko Haram.
Le chef du HCR préconise un retour à l'autonomie au Tchad
Lors de sa courte visite au lac Tchad, Filippo Grandi a souligné les programmes axés sur les modes d'existence pour aider les réfugiés et les autres personnes déplacées par les attaques des insurgés à subvenir à leurs besoins.
Le chef du HCR félicite le Niger pour son aide aux réfugiés
Filippo Grandi déclare que le Niger donne un excellent exemple en offrant l'hospitalité aux personnes qui fuient les conflits au Mali et au Nigéria.
Un filet de sécurité pour des réfugiés nigérians sur les rives du lac Tchad
Les réfugiés et la communauté hôte luttent pour leur survie après l'arrivée de milliers de personnes suite aux attaques de militants de Boko Haram dans le nord-est du Nigéria.
Crainte et pénuries pour les personnes déracinées par Boko Haram de retour dans leurs maisons en ruines
Environ 70 000 personnes n'ont trouvé que destructions, insécurité et pénuries à leur arrivée à Gwoza, une ville du nord du Nigéria reprise aux insurgés en mars.
Plus de 300 000 réfugiés et migrants ont traversé la Méditerranée jusqu'à présent en 2016
Le nombre de traversées maritimes vers l'Europe au cours des neuf premiers mois de 2016 est inférieur à 2015 mais supérieur à toute l'année 2014.
Le HCR demande davantage de financement pour l'aide aux personnes déplacées par Boko Haram — Bono
Le chanteur du groupe U2 et cofondateur de ONE Campaign prévient que des milliers d'enfants pourraient souffrir de la faim alors que les agences des Nations Unies sont confrontées à une pénurie de fonds.
Malgré la menace de Boko Haram, des Nigérians déplacés rentrent chez eux
Même si leurs villages ne sont toujours pas à l'abri des insurgés en maraude, un certain nombre de Nigérians déplacés sont rentrés chez eux et comptent sur les groupes d'autodéfense pour assurer leur sécurité.