Récits

Comme bon nombre d’Ajanib en Syrie, Tofik Mussa n’était pas reconnu en tant que citoyen dans son pays. Après plusieurs années en Suisse, il a obtenu un document d’identité officiel pour la première fois de sa vie.

L’athlète qui a contribué à guider vers la sécurité un canot pneumatique en perdition chargé de réfugiés a poursuivi sa voie jusqu’aux Jeux olympiques de Rio en 2016. Elle publie aujourd’hui un livre – « Butterfly » – présenté à Berlin.

Daniela et sa compagne Sofia étaient persécutées en raison de leur combat pour les droits des minorités sexuelles en Colombie. Elles ont trouvé refuge en Suisse avec leur fils par une froide journée de décembre, en 2016.

L’entreprise de textile zurichoise Social Fabric emploie deux couturières et un tailleur issus de l’asile. Une fois par semaine, elle propose également un atelier pour faire découvrir l’art de la couture aux réfugiés.

Déracinée alors qu’elle était encore une enfant, Alinesa n’est allée à l’école pour la première fois qu’à 11 ans. Elle a rapidement rattrapé le temps perdu. Aujourd’hui âgée de 32 ans, elle est enseignante et se mobilise pour l’éducation des réfugiés, et tout particulièrement celle des jeunes filles.

Dans la série «Carnets de rêve» sur Internet et les médias sociaux, Madina, une Afghane de 16 ans, partage ses espoirs d’égalité pour les femmes de son pays d’origine.

Shoaib vit aujourd’hui en sécurité en Allemagne. Il est l’un des 12 enfants déracinés dont les parcours sont présentés dans la série «Carnets de rêve».

Manaal, âgée de 14 ans, a gagné la confiance en elle nécessaire pour évoquer de grands espoirs pour l’avenir. Elle les dévoile dans le cadre de la série de portraits “Carnets de rêve”.

Cette fillette de 10 ans révèle dans un projet photo du HCR son rêve de devenir mannequin.

Un projet photo a donné à Amr, un jeune Syrien de 16 ans, la confiance nécessaire pour réaliser ses rêves.