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Burundi : information sur l'Association pour la promotion de la fille burundaise (APFB), y compris ses membres et ses activités; traitement réservé aux membres de l'APFB par les autorités et les Imbonerakure (2016-mars 2017)

Publisher Canada: Immigration and Refugee Board of Canada
Publication Date 28 March 2017
Citation / Document Symbol BDI105770.F
Related Document(s) Burundi: The Association for the Promotion of the Burundian Girl (Association pour la promotion de la fille burundaise - APFB), including its members and activities; the treatment of APFB members by the authorities and the Imbonerakure (2016-March 2017)
Cite as Canada: Immigration and Refugee Board of Canada, Burundi : information sur l'Association pour la promotion de la fille burundaise (APFB), y compris ses membres et ses activités; traitement réservé aux membres de l'APFB par les autorités et les Imbonerakure (2016-mars 2017), 28 March 2017, BDI105770.F, available at: https://www.refworld.org/docid/5ac37f667.html [accessed 6 June 2023]
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28 mars 2017
BDI105770.F
Burundi : information sur l'Association pour la promotion de la fille burundaise (APFB), y compris ses membres et ses activités; traitement réservé aux membres de l'APFB par les autorités et les Imbonerakure (2016-mars 2017)

Direction des recherches, Commission de l'immigration et du statut de réfugié du Canada, Ottawa

1. Association pour la promotion de la fille burundaise (APFB)

Sur son site Internet, l'APFB se décrit comme une association sans but lucratif créée en mai 1999 à l'initiative « d'un petit nombre de filles étudiantes qui étaient déjà engagées [dans des] mouvements associatifs de jeunes et de femmes [et qui] étaient préoccupées par la faible participation de leurs sœurs » (APFB s.d.a). La même source écrit que cette association « cherche à éveiller une prise de conscience active chez la jeune fille burundaise sur le rôle qu'elle doit jouer dans la vie sociale, économique et politique de la [n]ation » (APFB s.d.b). Selon le site Internet de l'APFB, cette association propose de

  • [r]evaloriser l'éducation de la jeune fille burundaise,
  • [a]mener la jeune fille burundaise à s'intéresser à la vie sociopolitique et économique tant nationale qu'internationale,
  • [s]ensibiliser la société burundaise sur le rôle de la femme dans la [n]ation,
  • [p]romouvoir l'éducation à la paix, à la démocratie et au respect de la personne humaine,
  • [p]romouvoir l'indépendance économique de la fille par l'entrepreneuriat (APFB s.d.b).

De même, selon un article publié en 2012 par le Global Fund for Children, une organisation basée à Washington qui accorde de petites subventions à des organismes communautaires travaillant avec des enfants et des jeunes vulnérables dans le monde (Global Fund for Children s.d.), l'APFB [traduction] « travaille pour réveiller la conscience sociopolitique et économique des jeunes filles au Burundi à travers un soutien académique, des programmes de formation professionnelle et des initiatives de sensibilisation » (Global Fund for Children 5 janv. 2012). Yellow.Place, un outil de recherche en ligne qui [traduction] « offre de l'information sur des entreprises et des endroits à travers le monde » (Yellow.Place s.d.a), décrit l'APFB comme « une organisation sans but lucratif [et une ONG] créée en mai 1999 [ayant pour] mission d'éveiller une prise de conscience active chez la jeune fille burundaise sur le rôle qu'elle doit jouer dans la vie sociale, économique et politique » (Yellow.Place s.d.b). D'après la même source, cette association a pour vision « [u]ne fille instruite, patriote, autonome financièrement, libérée des violences [et] qui connait ses droits et devoirs en incarnant les valeurs positives de la société burundaise » (Yellow.Place s.d.b).

1.1 Membres de l'APFB

Selon un article publié par les Publications de presse burundaises (PPB), une maison d'édition burundaise qui a « pour mission de diffuser […] des informations objectives dans tous les domaines de l'actualité nationale et internationale » (Rondera s.d.), la présidente de l'APFB est Marie Lasia Karire (PPB s.d.). Parmi les sources qu'elle a consultées dans les délais fixés, la Direction des recherches n'a pas trouvé d'autres renseignements allant dans le même sens. Des sources écrivent que la coordonnatrice [nationale] de l'APFB est Domitille [Nduwimana] (RPA 12 oct. 2015; Projet 51 9 janv. 2016).

Un article publié en 2017 sur le site Internet du groupe de presse burundais Iwacu présente la biographie d'Alida Kanyange, « stagiaire au journal Iwacu », qui est aussi membre de l'APFB et qui participe « parfois » aux rencontres de cette association (Iwacu 1er févr. 2017).

Selon le site Internet de l'APFB, le groupe cible de l'association comprend les filles « démunies », « rapatriées » ou « victimes de violences », les filles « chefs de ménages », les filles « de l'ethnie minoritaire Batwa », les élèves et les étudiants (APFB s.d.b.).

Au cours d'une entrevue publiée en 2016 par Projet 51, un projet itinérant mené [par deux étudiants et un jeune diplômé français (Projet 51 s.d.a)] dans 19 pays d'Afrique, d'Asie et du Moyen-Orient pour rencontrer des entrepreneurs sociaux, des responsables associatifs et « de nombreux autres acteurs et actrices du changement de la condition féminine » (Projet 51 s.d.b), la coordonnatrice de l'APFB a affirmé que son association est aussi composée de garçons (Projet 51 9 janv. 2016). De même, sur le site Internet de l'APFB, on peut lire qu'Éric Ndihokubwayo, membre de l'APFB, a été formateur en avril 2015 lors de visites dans des écoles secondaires (APFB s.d.c.).

Selon l'entrevue publiée en 2016 par Projet 51, la coordonnatrice de l'APFB a affirmé que les garçons membres de cette association se font dire par d'autres garçons qu'ils ne sont pas des garçons et qu'ils sont corrompus par les filles (Projet 51 9 janv. 2016). D'après la même source, la coordonnatrice de l'APFB B a déclaré que « [p]arfois, il y a même des garçons qui ne veulent pas approcher des filles de chez nous pour le mariage. Ils se disent "elle sera très difficile dans le ménage, elle va imposer de l'égalité entre l'homme et la femme" » (Projet 51 9 janv. 2016). Dans le cadre de l'entrevue menée par Projet 51, la coordonnatrice de l'APFB a déclaré qu'au Burundi, « la coutume » et la « loi qui ne favorise pas assez les filles » sont des « obstacles à l'émancipation de la femme et de la fille » (Projet 51 9 janv. 2016). Parmi les sources qu'elle a consultées dans les délais fixés, la Direction des recherches n'a pas trouvé d'autres renseignements allant dans le même sens.

D'après un article publié sur le site Internet de l'APFB, « [u]ne soixantaine de membres de l'APFB » ont participé à une formation sur « les compétences de vie courante […] [et] vont à leur tour former 30 pairs chacune pour diffusion large de ces connaissances » (APFB s.d.d). La même source présente « Nahimana E » comme « un membre » qui a reçu cette formation (APFB s.d.d).

1.2. Activités de l'APFB

On peut lire sur le site Internet de l'APFB que celle-ci intervient dans les domaines suivants : « [l]a santé reproductrice et la lutte contre le VIH/SIDA; [l]a lutte contre les violences sexuelles; [l]a promotion des droits humains et du genre avec le volet entrepreneuriat; [et] l'éducation scolaire et la formation professionnelle » (APFB s.d.b). Dans l'article publié par les PPB, on peut lire ce qui suit au sujet des actions concrètes réalisées par l'APFB pour « l'autonomisation de la fille » burundaise :

Mme Karire [présidente de l'APFB] a répondu que dans le secteur de l'économie, l'association, avec l'appui de ses partenaires, organise des séances d'informations et de formations sur l'entrepreneuriat des jeunes.

Dans le secteur de la [s]anté, elle a précisé que l'APFB a organisé des descentes sur [le] terrain pour sensibiliser les filles en milieux scolaires ou en milieux ruraux sur l'éducation à une bonne santé reproductive et sexuelle. Elle a signalé que cette activité est organisée dans le but de prévenir les grossesses non désirées et les violences sexuelles surtout chez les filles adolescentes […].

Dans le secteur de l'éducation, l'association encourage toutes les filles qui ont l'âge de fréquenter l'école à mettre en avant les études afin d'avoir le droit de participer non seulement [au] développement du pays, mais aussi [aux] instances de prise de décision.

Mme Karire a affirmé que le travail de l'APFB a déjà eu de bons fruits parce qu'il y a des filles qui ont créé de petites entreprises. Et elles sont maintenant autonomes. La représentante légale de l'APFB […] demande au gouvernement de soutenir les filles dans ce qu'elles font pour être autonomes. Elle lui demande également de punir sévèrement ceux qui se rendent coupables des problèmes qui handicapent l'autonomisation de la fille notamment les violences sexuelles (PPB s.d.).

Parmi les sources qu'elle a consultées dans les délais fixés, la Direction des recherches a trouvé peu d'information au sujet des activités de l'APFB depuis 2016. Un article publié sur le site Internet de l'APFB signale que l'association a organisé, le 25 avril 2015, « des descentes dans les écoles secondaires dont le [l]ycée [m]unicipal de Musaga en vue d'inciter les jeunes filles à faire des études poussées » (APFB s.d.c). Selon un autre article publié sur ce site, « les jeunes et femmes de 20 communes des provinces Bururi, Mwaro et Makamba ont été les cibles de l'APFB de juillet à septembre 2015 en vue de les former et de les sensibiliser sur les principes démocratiques et de la gestion des résultats électoraux » (APFB s.d.e).

Un article publié en 2016 par le Fonds des Nations Unies pour la population (UNFPA) rapporte qu'au cours de la cérémonie organisée dans le cadre de la journée mondiale de la population, qui a été célébrée le 15 juillet 2016 au Burundi, Chanella Ndayishimiye a témoigné pour partager son expérience avec l'APFB, dont elle faisait partie, qui est intervenue lorsqu'elle était adolescente « pour permettre à [elle et à sa sœur] d'être autonomes et [de] continuer leurs études sans problèmes » après avoir été abandonnées par leur mère (Nations Unies 26 juill. 2016). Des sources signalent que l'APFB a participé aux cérémonies organisées par le ministère des Droits de la personne humaine, des Affaires sociales et du Genre le 15 octobre 2016 à Bujumbura dans le cadre de la Journée internationale de la fille (Burundi 17 oct. 2016; Le Renouveau 18 oct. 2016).

Selon un article publié sur le site Internet de l'APFB, l'association a un partenariat avec l'UNICEF dans le cadre du projet « Les adolescents et les jeunes ouvrent la voie vers la paix au Burundi » (APFB s.d.d). Selon un autre article publié sur ce site, l'UNICEF « a ciblé des organisations locales dont l'APFB afin d'exploiter l'outil [U-report] [un outil de communication qui permet aux participants de donner leurs points de vue sur des sujets sociaux au moyen de messages textes] » (APFB s.d.f). La même source écrit que l'APFB a « enregistr[é] une centaine d'U-reporters pour l'an 2015 » (APFB s.d.f). Selon l'article publié en 2012 par le Global Fund for Children, une subvention de cette organisation [traduction] « appuie le programme d'autonomisation scolaire de l'APFB qui offre un soutien éducatif et une aide financière aux filles dans les écoles primaires et secondaires et qui conteste la négligence de la société à l'égard de l'éducation des filles » (Global Fund for Children 5 janv. 2012).

Projet 51 rapporte que la coordonnatrice de l'APFB a déclaré ce qui suit au sujet de la « crise actuelle » au Burundi et du travail de son association sur le terrain :

« Nous essayons de travailler malgré la situation actuelle dans le pays, mais vous savez, on ne peut pas travailler là où il n'y a pas la sécurité! Parfois, on doit fermer nos bureaux; parfois, des routes sont barrées; parfois, on ne peut pas bouger, comme vendredi dernier où tout le monde a dû rester chez soi toute la journée à cause des coups de feu » (Projet 51 9 janv. 2016).

Parmi les sources qu'elle a consultées dans les délais fixés, la Direction des recherches n'a pas trouvé d'autres renseignements allant dans le même sens.

2. Traitement réservé aux membres de l'APFB par les autorités et les Imbonerakure

Parmi les sources qu'elle a consultées dans les délais fixés, la Direction des recherches n'a trouvé aucun renseignement au sujet du traitement des membres de l'APFB par les autorités et les Imbonerakure [membres de la ligue des jeunes du parti au pouvoir (Human Rights Watch 19 janv. 2017)].

2.1. Traitement réservé aux membres de la société civile par les autorités

Selon le rapport annuel d'Amnesty International sur la situation des droits humains dans le monde en 2016, « [l]e travail de défense des droits humains est devenu de plus en plus dangereux et difficile » au Burundi (Amnesty International 22 févr. 2017, 130). La même source explique que « [l]e Service national de renseignement a renforcé la surveillance des militants des droits humains […] » (Amnesty International 22 févr. 2017, 130). De même, dans un rapport de l'enquête indépendante des Nations Unies sur le Burundi (EINUB), publié en 2016 par le Conseil des droits de l'homme, on peut lire que les défenseurs des droits de l'homme ont été parmi « les principales cibles de la répression systématique conduite par les autorités » (Nations Unies 25 oct. 2016, paragr. 78).

Les Country Reports on Human Rights Practices for 2016, préparés par le Département d'État des États-Unis, rapportent que les autorités burundaises ont ordonné la fermeture d'ONG qui ont critiqué le gouvernement et le parti au pouvoir (É.-U. 3 mars 2017, 1). De même, dans le rapport de l'EINUB, on peut lire qu'en novembre 2015, les activités d'organisations de la société civile ont été « "temporairement" suspendues par décret ministériel et les comptes bancaires de certaines d'entre elles, ainsi que ceux de leurs cadres, gelés » (Nations Unies 25 oct. 2016, paragr. 79). Selon un article publié en 2016 par Human Rights Watch, les comptes bancaires d'organisations non gouvernementales ont été gelés par le procureur général en novembre et en décembre 2015 (Human Rights Watch 25 févr. 2016).

Des sources signalent que des mandats d'arrêt ont été lancés à l'encontre d'activistes de la société civile (Nations Unies 25 oct. 2016, paragr. 80; Human Rights Watch janv. 2017, 5). Dans les Country Reports 2016 publiés par les États-Unis, on peut lire que plusieurs dirigeants de la société civile au Burundi seraient [traduction] « volontairement partis en exil pour échapper aux menaces et à la violence » (É.-U. 3 mars 2017, 23).

Selon le rapport de l'EINUB, « [l]es militants des droits de l'homme et leurs proches ont été les principales cibles » d'assassinats ciblés des forces de sécurité (Nations Unies 25 oct. 2016, paragr. 49). La même source écrit que « [d]e nombreuses personnes ont disparu depuis le début de la crise [qui a débuté en 2015 (Nations Unies 25 oct. 2016, paragr. 28)] », dont des membres de la société civile, « souvent après leur arrestation arbitraire par les forces de sécurité » (Nations Unies 25 oct. 2016, paragr. 50).

Cette réponse a été préparée par la Direction des recherches à l'aide de renseignements puisés dans les sources qui sont à la disposition du public, et auxquelles la Direction des recherches a pu avoir accès dans les délais fixés. Cette réponse n'apporte pas, ni ne prétend apporter, de preuves concluantes quant au fondement d'une demande d'asile. Veuillez trouver ci-dessous les sources consultées pour la réponse à cette demande d'information.

Références

Amnesty International. 22 février 2017. « Burundi ». Rapport 2016/2017 - la situation des droits humains dans le monde. [Date de consultation : 16 mars 2017]

Association pour la promotion de la fille burundaise (APFB). S.d.a. « Historique ». [Date de consultation : 16 mars 2017]

Association pour la promotion de la fille burundaise (APFB). S.d.b. « Présentation ». [Date de consultation : 16 mars 2017]

Association pour la promotion de la fille burundaise (APFB). S.d.c. « L'éducation de la fille, notre priorité ». [Date de consultation : 16 mars 2017]

Association pour la promotion de la fille burundaise (APFB). S.d.d. « Jeunes adolescents, ouvrons la voie vers la paix au Burundi ». [Date de consultation : 22 mars 2017]

Association pour la promotion de la fille burundaise (APFB). S.d.e. « Le respect des principes démocratiques et de gestion des résultats électoraux, facteurs primordiaux pour la consolidation de la paix ». [Date de consultation : 22 mars 2017]

Association pour la promotion de la fille burundaise (APFB). S.d.f. « "Devenons des U-reporters" : l'APFB enregistre une centaine d'U-reporters pour l'an 2015 ». [Date de consultation : 22 mars 2017]

Burundi. 17 octobre 2016. Gouvernement du Burundi. « Célébration de la journée internationale de la fille au Burundi : "aux côtés de l'adolescente burundaise pour ses ambitions 2030" ». [Date de consultation : 17 mars 2017]

États-Unis (É.-U.). 3 mars 2017. Department of State. « Burundi ». Country Reports on Human Rights Practices for 2016. [Date de consultation : 16 mars 2017]

Global Fund for Children. 5 janvier 2012. « Partners ». [Date de consultation : 16 mars 2017]

Global Fund for Children. S.d. « About Us ». [Date de consultation : 20 mars 2017]

Human Rights Watch. 19 janvier 2017. « Burundi: Attacks by Ruling Party Youth League Members ». [Date de consultation : 27 mars 2017]

Human Rights Watch. Janvier 2017. « Burundi ». World Report 2017: Events of 2016. [Date de consultation : 16 mars 2017]

Human Rights Watch. 25 février 2016. « Burundi : les enlèvements et les meurtres répandent la peur ». [Date de consultation : 16 mars 2017]

Iwacu. 1er février 2017. « Alida Kanyange ». [Date de consultation : 16 mars 2017]

Nations Unies. 25 octobre 2016. Conseil des droits de l'homme. Rapport de l'enquête indépendante des Nations Unies sur le Burundi menée en vertu de la résolution S-24/1 du Conseil des droits de l'homme. (A/HCR/33/37). [Date de consultation : 16 mars 2017]

Nations Unies. 26 juillet 2016. Fonds des Nations Unies pour la population (UNFPA). « Célébration de la journée mondiale de la population ». [Date de consultation : 17 mars 2017]

Projet 51. 9 janvier 2016. « Interview de Domitille, coordonnatrice nationale de l'Association pour la promotion de la femme burundaise (APFB) ». [Date de consultation : 16 mars 2017]

Projet 51. S.d.a. « Qui sommes-nous? ». [Date de consultation : 20 mars 2017]

Projet 51. S.d.b. « Le Projet 51, c'est quoi? ». [Date de consultation : 17 mars 2017]

Publications de presse burundaise (PPB). S.d. Rose Mpekerimana. « La fille constitue un potentiel important pour le développement du pays ». [Date de consultation : 16 mars 2017]

Le Renouveau. 18 octobre 2016. « MDPHASG Célébration de la Journée internationale de la fille, édition 2016. Tout le monde est interpellé à contribuer dans la lutte contre les défis que rencontrent les jeunes filles ». (Factiva)

Rondera. S.d. « Publications de presse burundaise ». [Date de consultation : 17 mars 2017]

Radio publique africaine (RPA). 12 octobre 2015. « Journée internationale de la fille : au Burundi, les défis restent nombreux ». [Date de consultation : 16 mars 2017]

Yellow.Place. S.d.a. « What is Yellow.Place ». [Date de consultation : 20 mars 2017]

Yellow.Place. S.d.b. « Association pour la promotion de la fille burundaise ». [Date de consultation : 17 mars 2017]

Autres sources consultées

Sources orales : Association des femmes juristes du Burundi; Association pour la promotion de la fille burundaise; Centre des femmes pour la paix; consultant indépendant; Ligue burundaise des droits de l'homme; Réseau femmes et paix.

Sites Internet, y compris : Africa Confidential; Africa Research Bulletin; Africanews; Agency for Cooperation and Research in Development; BBC; Fédération internationale des ligues des droits de l'homme; Nations Unies – Bureau de l'Envoyé du secrétaire général pour la jeunesse; Radio des Nations Unies; Radio France internationale.

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