Évènements en France

 

Évènements à venir

12 - 26 juin 2018 : le Refugee Food Festival en France

Pour la troisième année consécutive, le Refugee Food Festival, une initiative citoyenne fondée par Food Sweet Food et co-organisée par le HCR, ravira les gourmands à travers le monde. Le festival vise à mettre en avant le talent des réfugiés en mobilisant des citoyens, des ONG locales et internationale, des restaurants et des villes. L'édition française commence le 12 juin à Marseille.

Retrouvez la programmation du festival à Paris, Marseille, Bordeaux, Lyon et Strasbourg.

​13 - 24 juin 2018 : l'exposition 'No Stranger Place' à Paris

Le photographe Aubrey Wade pose son objectif en France afin de capturer les liens d’amitié tissés entre des hôtes français et des invités réfugiés.

‘No Stranger Place : parcours croisés de réfugiés et de leurs hôtes à travers l’Europe’ est une série de photos qu'il a prise en partenariat avec le HCR afin de mettre en valeur ces actes de compassion. Après Londres, Berlin, Vienne et Stockholm, l'exposition s'établit à Ground Control à Paris.

20 juin 2018 : la Journée mondiale du réfugié à Ground Control à Paris 

A l’occasion de la Journée mondiale du réfugié, le 20 juin, le HCR France s'installe à Ground Control à Paris avec une programmation inédite. 

De 17h30 à 19h30, il y aura des stands informatifs et participatifs, où le public pourra échanger avec des personnes réfugiées et découvrir des initiatives engagées avec les ateliers d'Afrika Tiss, Bibliothèques sans frontières, France Terre d'Asile, la Fabrique Nomade, SINGA et Wintegreat. 

De 18h30 à 20h, MakeSense animera une table ronde sur l’accueil des personnes réfugiées dans les villes.  

A partir de 20h30, des jam session, en collaboration avec SINGA France, mettront en avant la rencontre musicale entre artistes réfugiés et artistes français.

Évènements passés

26 - 30 mars 2018 : Semaine de l’apprentissage mobile de l'UNESCO

Le HCR a participé à cet évènement phare de l’UNESCO en matière de technologies de l’information et de la communication (TIC) dans l’éducation. La vidéo sur la participation du HCR.

Septembre 2017 - Novembre 2017 : Exposition « The Most important Thing » à la Gare de Lyon à Paris

Qu’emporteriez-vous si vous deviez fuir votre foyer soudainement ?

C’est la question qu’a posée le photographe américain Brian Sokol, en mission avec le HCR à des réfugiés de différentes régions du monde, notamment du Soudan, de la République centrafricaine, du Mali et de Syrie. Cette exposition est une série de portraits de réfugiés qui posent avec l’objet le plus important qu’ils ont emporté avec eux en fuyant leur pays.

8 octobre - 15 décembre 2017 : Exposition « Déflagrations – Un siècle de dessins d’enfants dans les guerres, conflits et crimes de masse» à la Médiathèque André Malraux à Strasbourg

« Déflagrations » est une exposition de dessins d’enfants affrontant des situations de guerre, de violences et de migration. L'évènement, soutenu par le HCR, est conçu par l'association Zérane Confluence Artistique. Des conférences auront également lieu pour échanger sur la situation des enfants dans les conflits armés et les solutions nécessaires.

Lundi 10 octobre : deux tables rondes à 17h et 18h30 à l'Agora du Conseil de l’Europe (salle G3) sur le droit des enfants, notamment d’un point de vue humanitaire, suite à des guerres. La date correspond à une session plénière de l’Assemblée Parlementaire du Conseil de l’Europe.

Mardi 24 octobre : une table ronde à 13h00 au Palais du Conseil de l’Europe (salle 5) et une visite de l’exposition avec des témoignages. La table ronde, ouverte au grand public, se concentre sur le droit à l’éducation en temps de conflits armés.

Décembre 2017 : Collecte de jouets au Musée du Quai Branly à Paris au profit d’enfants réfugiés

Le HCR France a organisé une collecte de jouets en partenariat avec le Musée du Quai Branly et Aviation Sans Frontières (ASF) à destination d’enfants syriens réfugiés au Liban. L’évènement était également l’occasion d’informer le grand public sur la situation en Syrie et au Liban grâce à un atelier de cuisine avec le chef réfugié f Mohammad Elkhaldy, des jeux et des projections. 

Regardez la vidéo de l'évènement et lisez l'article ici.

2 au 8 octobre 2017 : Le Refugee Food Festival dans les cantines scolaires de Bayeux

A l'occasion du Prix Bayeux-Calvados des correspondants de guerre, le HCR a mêlé sensibilisation et gastronomie en proposant aux collégiens de Bayeux de nouvelles saveurs concoctées par des chefs réfugiés.

Ces chefs ont mijoté des plats traditionnels dans les cuisines de cinq établissements scolaires : 

Lundi 2 octobre : Collège Charles Létot – Bayeux 
Mardi 3 octobre : Collège Jean de la Varende – Creully 
Mercredi 4 octobre : (uniquement le matin) : Collège Hastings – Caen 
Jeudi 5 octobre : Collège Ernest Hemingway – Port-en-Bessin 
Vendredi 6 octobre : Collège Louis Pergaud – Dozulé

Des représentants du HCR sont intervenus dans les classes de quatrième afin de sensibiliser les élèves à la situation des réfugiés en France et dans le monde. Les collèges ont organisé des ateliers culinaires au cours desquels les chefs réfugiés ont évoqué leur parcours.

Depuis 2016, le HCR co-organise le Refugee Food Festival, une initiative citoyenne créée par l'association Food Sweet Food. L’évènement confie les cuisines de restaurants à des chefs réfugiés.

 

Semaine de sensibilisation à la Gare de Lyon de Paris

28 octobre 2017

Du 20 au 28 octobre, pendant les vacances de la Toussaint, l'équipe du HCR France a établi un stand d'information à la Gare de Lyon afin d'informer les voyageurs de la situation des réfugiés dans le monde, grâce à des brochures, des pancartes et une diffusion des messages du HCR sur les écrans de la gare.

L'équipe a, en outre, organisé diverses activités de sensibilisation du public aux déplacements globaux, notamment l'exposition "The Most Important Thing", du photographe Brian Sokol en partenariat avec le HCR (plus d'information plus haut), des visites virtuelles du camp de réfugiés Za'atari, en Jordanie avec un casque de réalité virtuelle diffusant le film de réalité virtuelle de l'ONU, Clouds Over Sydra, un atelier de calligraphie arabe organisé par Omar Ibrahim, un artiste réfugié syrien, des concerts de musique de Nuba Blues, Diyar Uren et Ghandi Adam & Lamma Orchestra et des performances artistiques avec Seb Toussaint, Afrika Tiss et Tallafe.

  • Des volontaires du HCR se tiennent devant le stand d'information du HCR à la Gare de Lyon à Paris le 21 octobre 2017. Des brochures et des affiches permettent d'informer les voyageurs sur la situation des réfugiés dans le monde.
    Des volontaires du HCR se tiennent devant le stand d'information du HCR à la Gare de Lyon à Paris le 21 octobre 2017. Des brochures et des affiches permettent d'informer les voyageurs sur la situation des réfugiés dans le monde. © UNHCR/Josephine Lebas-Joly
  • Des volontaires du HCR montrent à des enfants comment utiliser des casques de réalité virtuelle afin de visiter le camp de réfugiés de Za'atari, en Jordanie, grâce au film de réalité virtuelle produit par l'ONU, Clouds Over Sidra, le 21 octobre 2017 à la Gare de Lyon.
    Des volontaires du HCR montrent à des enfants comment utiliser des casques de réalité virtuelle afin de visiter le camp de réfugiés de Za'atari, en Jordanie, grâce au film de réalité virtuelle produit par l'ONU, Clouds Over Sidra, le 21 octobre 2017 à la Gare de Lyon. © UNHCR/Josephine Lebas-Joly
  • Seb Toussaint (centre), un artiste franco-anglais qui dessine des graffitis sur les murs de camp de réfugiés à travers le monde, parle à une voyageuse à la Gare de Lyon, le 24 octobre 2017, tandis qu'Omar Ibrahim (gauche), un artiste syrien, réfugié en France, dessine en calligraphie arabe le nom de la voyageuse, dans le cadre de la semaine de sensibilisation du HCR à la situation des réfugiés dans le monde. Omar Ibrahim est professeur de calligraphie à Science Po Paris.
    Seb Toussaint (centre), un artiste franco-anglais qui dessine des graffitis sur les murs de camp de réfugiés à travers le monde, parle à une voyageuse à la Gare de Lyon, le 24 octobre 2017, tandis qu'Omar Ibrahim (gauche), un artiste syrien, réfugié en France, dessine en calligraphie arabe le nom de la voyageuse, dans le cadre de la semaine de sensibilisation du HCR à la situation des réfugiés dans le monde. Omar Ibrahim est professeur de calligraphie à Science Po Paris.  © UNHCR/Josephine Lebas-Joly
  • Des volontaires du HCR exliquent aux voyageurs de la Gare de Lyon, à Paris, quelle est la situation des réfugiés dans le monde et des déplacements globaux.
    Des volontaires du HCR exliquent aux voyageurs de la Gare de Lyon, à Paris, quelle est la situation des réfugiés dans le monde et des déplacements globaux. © UNHCR/Josephine Lebas-Joly
  • Seb Toussaint, un artiste franco-anglais qui dessine des graffitis sur les murs de camp de réfugiés à travers le monde, écrit le mot "liberté" sur une tente du HCR, à la Gare de Lyon, le 25 octobre 2017. Son projet "Share The Word", en collaboration avec d'autres photographes, consiste à peindre une fresque basée sur le mot que des personnes issues de communautés vulnérables, souhaitent exprimer.
    Seb Toussaint, un artiste franco-anglais qui dessine des graffitis sur les murs de camp de réfugiés à travers le monde, écrit le mot "liberté" sur une tente du HCR, à la Gare de Lyon, le 25 octobre 2017. Son projet "Share The Word", en collaboration avec d'autres photographes, consiste à peindre une fresque basée sur le mot que des personnes issues de communautés vulnérables, souhaitent exprimer.  © UNHCR/Josephine Lebas-Joly
  • Le musicien kurde irakien, Diyar Üren (gauche), un réfugié en France, joue un mélange de musique traditionnelle kurde et grecque avec d'autres musiciens professionnels, notamment son frère, Dilcivan Uren (droite), également un réfugié en France, à la Gare de Lyon le 21 octobre 2017.
    Le musicien kurde irakien, Diyar Üren (gauche), un réfugié en France, joue un mélange de musique traditionnelle kurde et grecque avec d'autres musiciens professionnels, notamment son frère, Dilcivan Uren (droite), également un réfugié en France, à la Gare de Lyon le 21 octobre 2017. © UNHCR/Carlos Arbelaez
  • Des volontaires du HCR se tiennent devant le stand d'information du HCR à la Gare de Lyon à Paris le 21 octobre 2017. Des brochures et des affiches permettent d'informer les voyageurs sur la situation des réfugiés dans le monde.
  • Des volontaires du HCR montrent à des enfants comment utiliser des casques de réalité virtuelle afin de visiter le camp de réfugiés de Za'atari, en Jordanie, grâce au film de réalité virtuelle produit par l'ONU, Clouds Over Sidra, le 21 octobre 2017 à la Gare de Lyon.
  • Seb Toussaint (centre), un artiste franco-anglais qui dessine des graffitis sur les murs de camp de réfugiés à travers le monde, parle à une voyageuse à la Gare de Lyon, le 24 octobre 2017, tandis qu'Omar Ibrahim (gauche), un artiste syrien, réfugié en France, dessine en calligraphie arabe le nom de la voyageuse, dans le cadre de la semaine de sensibilisation du HCR à la situation des réfugiés dans le monde. Omar Ibrahim est professeur de calligraphie à Science Po Paris.
  • Des volontaires du HCR exliquent aux voyageurs de la Gare de Lyon, à Paris, quelle est la situation des réfugiés dans le monde et des déplacements globaux.
  • Seb Toussaint, un artiste franco-anglais qui dessine des graffitis sur les murs de camp de réfugiés à travers le monde, écrit le mot "liberté" sur une tente du HCR, à la Gare de Lyon, le 25 octobre 2017. Son projet "Share The Word", en collaboration avec d'autres photographes, consiste à peindre une fresque basée sur le mot que des personnes issues de communautés vulnérables, souhaitent exprimer.
  • Le musicien kurde irakien, Diyar Üren (gauche), un réfugié en France, joue un mélange de musique traditionnelle kurde et grecque avec d'autres musiciens professionnels, notamment son frère, Dilcivan Uren (droite), également un réfugié en France, à la Gare de Lyon le 21 octobre 2017.

Cours d'été sur le droit des réfugiés

17 juillet 2017

L'Institut international des droits de l'homme (IIDH) et la Représentation en France du HCR, avec le soutien du Ministère français des Affaires étrangères et du Développement international, ont organisé, pour la 20ème année consécutive, un cours d'été sur le droit des réfugiés du 6 Juin au 17 Juin 2017 à Strasbourg.

Le Cours d'été sur le droit des réfugiés est un des rares cours francophones dispensés en droit international des réfugiés et sur les problématiques internationales et régionales touchant aux questions de réfugiés et de personnes déplacées. Les enseignements ont été dispensés par des experts du HCR, ainsi que par des spécialistes du monde académique et juridictionnel. L'objectif de cette formation est de promouvoir l'enseignement du droit international des réfugiés et une meilleure connaissance des principes fondamentaux régissant la protection internationale des personnes relevant du mandat du HCR.

Les participants au Cours d'été proviennent du monde entier et de divers secteurs d'activité gravitant autour de cette thématique. La participation à cette formation permet à ses bénéficiaires non seulement d'échanger leurs expériences mais aussi d'acquérir, de consolider et d'approfondir les bases indispensables à l'exercice de leurs missions sur le terrain.

  • L'Institut international des droits de l'homme (IIDH) et la Représentation en France du HCR, avec le soutien du Ministère français des Affaires étrangères et du Développement international, ont organisé, pour la 20ème année consécutive, un cours d'été sur le droit des réfugiés du 6 Juin au 17 Juin 2017 à Strasbourg.
    L'Institut international des droits de l'homme (IIDH) et la Représentation en France du HCR, avec le soutien du Ministère français des Affaires étrangères et du Développement international, ont organisé, pour la 20ème année consécutive, un cours d'été sur le droit des réfugiés du 6 Juin au 17 Juin 2017 à Strasbourg.  © UNHCR
  • La journée inaugurale de la 20ème session du Cours d'été sur le droit des réfugiés à Strasbourg en juillet 2017 a été marquée par les allocutions de bienvenue de M. Jean-Paul Costa, Président de l'IIDH et du Représentant du HCR pour la France, M. Ralf Gruenert (milieu).
    La journée inaugurale de la 20ème session du Cours d'été sur le droit des réfugiés à Strasbourg en juillet 2017 a été marquée par les allocutions de bienvenue de M. Jean-Paul Costa, Président de l'IIDH et du Représentant du HCR pour la France, M. Ralf Gruenert (milieu). © UNHCR/Loys Conseil
  • Caroline Laly-Chevalier, Conseillère juridique et chargée de liaison auprès de l'Office Français de Protection des Réfugiés et Apatrides (OFPRA) et de la Cour nationale du droit d'asile (CNDA) au HCR à Paris, explique aux participants du Cours d'été sur le droit des réfugiés ce qu'est le HCR et quels sont son mandat et ses activités, en juillet 2017 à Strasbourg.
    Caroline Laly-Chevalier, Conseillère juridique et chargée de liaison auprès de l'Office Français de Protection des Réfugiés et Apatrides (OFPRA) et de la Cour nationale du droit d'asile (CNDA) au HCR à Paris, explique aux participants du Cours d'été sur le droit des réfugiés ce qu'est le HCR et quels sont son mandat et ses activités, en juillet 2017 à Strasbourg.  © UNHCR/Loys Conseil
  • Fadma Moumtaz, Chargée de l'information au HCR à Paris (gauche), participe à un exercice de simulation d'une juridiction lors du Cours d'été sur le droit des réfugiés à Strasbourg en juillet 2017. 58 personnes, dont 19 femmes et 39 hommes de 25 nationalités différentes, ont participé à la 20ème session du Cours d'été sur le droit des réfugiés.
    Fadma Moumtaz, Chargée de l'information au HCR à Paris (gauche), participe à un exercice de simulation d'une juridiction lors du Cours d'été sur le droit des réfugiés à Strasbourg en juillet 2017. 58 personnes, dont 19 femmes et 39 hommes de 25 nationalités différentes, ont participé à la 20ème session du Cours d'été sur le droit des réfugiés. © UNHCR/Loys Conseil
  • L'Institut international des droits de l'homme (IIDH) et la Représentation en France du HCR, avec le soutien du Ministère français des Affaires étrangères et du Développement international, ont organisé, pour la 20ème année consécutive, un cours d'été sur le droit des réfugiés du 6 Juin au 17 Juin 2017 à Strasbourg.
  • La journée inaugurale de la 20ème session du Cours d'été sur le droit des réfugiés à Strasbourg en juillet 2017 a été marquée par les allocutions de bienvenue de M. Jean-Paul Costa, Président de l'IIDH et du Représentant du HCR pour la France, M. Ralf Gruenert (milieu).
  • Caroline Laly-Chevalier, Conseillère juridique et chargée de liaison auprès de l'Office Français de Protection des Réfugiés et Apatrides (OFPRA) et de la Cour nationale du droit d'asile (CNDA) au HCR à Paris, explique aux participants du Cours d'été sur le droit des réfugiés ce qu'est le HCR et quels sont son mandat et ses activités, en juillet 2017 à Strasbourg.
  • Fadma Moumtaz, Chargée de l'information au HCR à Paris (gauche), participe à un exercice de simulation d'une juridiction lors du Cours d'été sur le droit des réfugiés à Strasbourg en juillet 2017. 58 personnes, dont 19 femmes et 39 hommes de 25 nationalités différentes, ont participé à la 20ème session du Cours d'été sur le droit des réfugiés.

Refugee Food Festival 2017

30 juin 2017

Le HCR, en partenariat avec l'ONG française Food Sweet Food, a soutenu et co-organisé le Refugee Food Festival, une initiative citoyenne née en 2016 qui met en valeur le talent culinaire des réfugiés et facilite leur intégration.

Du 15 au 30 juin, l'édition 2017 du festival gastronomique s'est tenue à Paris, Bruxelles, Madrid, Athènes, Amsterdam, Rome, Milan, Bari, Marseille, Bordeaux, Lyon et Lille. L'évènement faisait partie des célébrations à l'occasion de la Journée Mondiale des réfugiés le 20 juin.

Plus de 50 restaurants ont ouvert les portes de leurs cuisines à des chefs réfugiés originaires d'Afghanistan, d'Érythrée, d'Iran, de Somalie, de Syrie, d'Ukraine et d'autres pays. D'autres villes ont exprimé leur intérêt à participer au festival et pourraient prendre part à l'initiative.

  • Le chef réfugié syrien, Nabil Attar (à droite), et le restaurateur parisien, Walid Sahed (à gauche), posent en face du restaurant Les Pantins à Paris, le 16 juin 2017, après avoir préparé de succulents plats à l'occasion du Refugee Food Festival 2017, soutenu et co-organisé par le HCR depuis sa création en juin 2016.
    Le chef réfugié syrien, Nabil Attar (à droite), et le restaurateur parisien, Walid Sahed (à gauche), posent en face du restaurant Les Pantins à Paris, le 16 juin 2017, après avoir préparé de succulents plats à l'occasion du Refugee Food Festival 2017, soutenu et co-organisé par le HCR depuis sa création en juin 2016.  © UNHCR/Benjamin Loyseau
  • Voici les ingrédients que le réfugié syrien, Mohammad Elkhaldy, et son homologue français, Stephane Jego, s'apprêtent à cuisiner au restaurant L'Ami Jean à Paris, le 16 juin 2017, à l'occasion du Refugee Food Festival. Ce festival gastronomique, soutenu et co-organisé par le HCR depuis sa création, en partenariat avec l'association Food Sweet Food, est un événement itinérant qui confie les cuisines de restaurants à des chefs réfugiés.
    Voici les ingrédients que le réfugié syrien, Mohammad Elkhaldy, et son homologue français, Stephane Jego, s'apprêtent à cuisiner au restaurant L'Ami Jean à Paris, le 16 juin 2017, à l'occasion du Refugee Food Festival. Ce festival gastronomique, soutenu et co-organisé par le HCR depuis sa création, en partenariat avec l'association Food Sweet Food, est un événement itinérant qui confie les cuisines de restaurants à des chefs réfugiés.  © UNHCR/Benjamin Loyseau
  • Le chef afghan réfugié, Reza Golami, cuisine au restaurant 'It' d'Athènes, en Grèce, le 22 juin 2017, à l'occasion du Refugee Food Festival. Cette année, le festival gastronomique se déroule dans 13 grandes villes européennes afin de changer le regard sur le statut de réfugié, offrir un tremplin aux chefs réfugiés en facilitant leur accès à l'emploi, et faire découvrir des cuisines venues d'ailleurs.
    Le chef afghan réfugié, Reza Golami, cuisine au restaurant 'It' d'Athènes, en Grèce, le 22 juin 2017, à l'occasion du Refugee Food Festival. Cette année, le festival gastronomique se déroule dans 13 grandes villes européennes afin de changer le regard sur le statut de réfugié, offrir un tremplin aux chefs réfugiés en facilitant leur accès à l'emploi, et faire découvrir des cuisines venues d'ailleurs. © UNHCR/Yorgos Kyvernitis
  • Plat fait de poulet, de prunes et d'amandes préparé par le chef marocain réfugié, Mohammed, et servi au restaurant L'Artisan de Madrid, à l'occasion du Refugee Food Festival.
    Plat fait de poulet, de prunes et d'amandes préparé par le chef marocain réfugié, Mohammed, et servi au restaurant L'Artisan de Madrid, à l'occasion du Refugee Food Festival. © UNHCR/Jane Mitchell
  • Le chef syrien réfugié, Elias Edlbi, sert un cocktail dans le restaurant Chez Richard à Bruxelles, lors de la première édition du Refugee Food Festival en Belgique, du 19 au 25 juin 2017. Elias est diplômé de l'Université de gestion hôtelière à Aleppo, en Syrie. Il est passioné par la mixologie qu'il a apprise à Beyrouth, au Liban.
    Le chef syrien réfugié, Elias Edlbi, sert un cocktail dans le restaurant Chez Richard à Bruxelles, lors de la première édition du Refugee Food Festival en Belgique, du 19 au 25 juin 2017. Elias est diplômé de l'Université de gestion hôtelière à Aleppo, en Syrie. Il est passioné par la mixologie qu'il a apprise à Beyrouth, au Liban. © UNHCR/Bea Uhart
  • La chef syrienne réfugiée, Rouba, présente le plat qu'elle a cuisiné au restaurant Mama Campo à Madrid, à l'occasion du Refugee Food Festival, le 25 juin 2017. Cette troisième édition du festival gastronomique se déroule dans 13 villes européennes avec des chefs originaires d'Afghanistan, d'Erythrée, d'Iran, de Somalie, de Syrie et d'Ukraine.
    La chef syrienne réfugiée, Rouba, présente le plat qu'elle a cuisiné au restaurant Mama Campo à Madrid, à l'occasion du Refugee Food Festival, le 25 juin 2017. Cette troisième édition du festival gastronomique se déroule dans 13 villes européennes avec des chefs originaires d'Afghanistan, d'Erythrée, d'Iran, de Somalie, de Syrie et d'Ukraine.  © UNHCR/Jane Mitchell
  • Meirelle, une chef réfugiée originaire du Togo, explique comment elle a cuisiné le plat qu'elle présente aux clients d'Eataly à Milan, le 20 juin 2017, à l'occasion de la Journée Mondiale du réfugié.
    Meirelle, une chef réfugiée originaire du Togo, explique comment elle a cuisiné le plat qu'elle présente aux clients d'Eataly à Milan, le 20 juin 2017, à l'occasion de la Journée Mondiale du réfugié.  © UNHCR/Marcello Pastonesi
  • Le chef syrien réfugié, Mohammad Elkhaldy (au centre), s'apprête à cuisiner avec le chef français, Stephane Jego (à droite), au restaurant L'Ami Jean à Paris, le 16 juin 2017, à l'occasion du Refugee Food Festival. Mohammad est un célèbre chef et ancien animateur d'une émission culinaire à la télévision syrienne.
    Le chef syrien réfugié, Mohammad Elkhaldy (au centre), s'apprête à cuisiner avec le chef français, Stephane Jego (à droite), au restaurant L'Ami Jean à Paris, le 16 juin 2017, à l'occasion du Refugee Food Festival. Mohammad est un célèbre chef et ancien animateur d'une émission culinaire à la télévision syrienne.  © UNHCR/Benjamin Loyseau
  • Le chef afghan réfugié, Reza Golami, pose avec des clients du restaurant 'It' d'Athènes, le 22 juin 2017, où il cuisine à l'occasion du Refugee Food Festival.
    Le chef afghan réfugié, Reza Golami, pose avec des clients du restaurant 'It' d'Athènes, le 22 juin 2017, où il cuisine à l'occasion du Refugee Food Festival.  © UNHCR/Yorgos Kyvernitis
  • Plat préparé par le chef syrien réfugié, Labib, dans un restaurant de Madrid en Espagne, le 20 juin 2017, à l'occasion du Refugee Food Festival.
    Plat préparé par le chef syrien réfugié, Labib, dans un restaurant de Madrid en Espagne, le 20 juin 2017, à l'occasion du Refugee Food Festival.  © UNHCR/Jane Mitchell
  • Le chef palestinien réfugié, Bilal Farajallah, et deux employés du restaurant Cipiace à Bruxelles, montrent les plats qu'ils ont préparés pour le Refugee Food Festival, le 25 juin 2017. En Belgique, 8 restaurants ont accueilli 7 chefs réfugiés pour faire découvrir de nouvelles saveurs. Bilal est très reconnaissant d'être en Belgique et exprime sa gratitude par la cuisine.
    Le chef palestinien réfugié, Bilal Farajallah, et deux employés du restaurant Cipiace à Bruxelles, montrent les plats qu'ils ont préparés pour le Refugee Food Festival, le 25 juin 2017. En Belgique, 8 restaurants ont accueilli 7 chefs réfugiés pour faire découvrir de nouvelles saveurs. Bilal est très reconnaissant d'être en Belgique et exprime sa gratitude par la cuisine.  © UNHCR/Bea Uhart
  • Plats préparés par la chef syrienne réfugiée, Rouba, au restaurant Mama Campo à Madrid, pour le Refugee Food Festival.
    Plats préparés par la chef syrienne réfugiée, Rouba, au restaurant Mama Campo à Madrid, pour le Refugee Food Festival.  © UNHCR/Jane Mitchell
  • Le chef du restaurant l'Artisan à Madrid pose dans la cuisine avec la chef ukrainienne réfugiée, Natalia, le 22 juin 2017. Ils cuisinent ensemble à l'occasion du Refugee Food Festival.
    Le chef du restaurant l'Artisan à Madrid pose dans la cuisine avec la chef ukrainienne réfugiée, Natalia, le 22 juin 2017. Ils cuisinent ensemble à l'occasion du Refugee Food Festival. © UNHCR/Jane Mitchell
  • Le réfugié Mohammed (à droite), un architecte qui cuisine par plaisir, prépare plusieurs plats syriens aux côtés de Luis, le chef du restaurant De Balie à Amsterdam, lors du Refugee Food Festival. "Je ne suis pas un chef formé, mais j'aime cuisiner", déclare Mohammed. "Ma mère m'a appris tout."
    Le réfugié Mohammed (à droite), un architecte qui cuisine par plaisir, prépare plusieurs plats syriens aux côtés de Luis, le chef du restaurant De Balie à Amsterdam, lors du Refugee Food Festival. "Je ne suis pas un chef formé, mais j'aime cuisiner", déclare Mohammed. "Ma mère m'a appris tout."  © UNHCR/Janou Zoet
  • Le chef togolais réfugié, Zakari Abasse, et la chef éthiopienne, Sara Unatu, préparent des plats avec deux chefs italiens dans le restaurant Ethnos de Borgo à San Lorenzo, à 20 kilomètres de Florence, pour la clôture du Refugee Food Festival le 30 juin 2017.
    Le chef togolais réfugié, Zakari Abasse, et la chef éthiopienne, Sara Unatu, préparent des plats avec deux chefs italiens dans le restaurant Ethnos de Borgo à San Lorenzo, à 20 kilomètres de Florence, pour la clôture du Refugee Food Festival le 30 juin 2017. © UNHCR/Germana Lavagna
  • Le chef réfugié syrien, Nabil Attar (à droite), et le restaurateur parisien, Walid Sahed (à gauche), posent en face du restaurant Les Pantins à Paris, le 16 juin 2017, après avoir préparé de succulents plats à l'occasion du Refugee Food Festival 2017, soutenu et co-organisé par le HCR depuis sa création en juin 2016.
  • Voici les ingrédients que le réfugié syrien, Mohammad Elkhaldy, et son homologue français, Stephane Jego, s'apprêtent à cuisiner au restaurant L'Ami Jean à Paris, le 16 juin 2017, à l'occasion du Refugee Food Festival. Ce festival gastronomique, soutenu et co-organisé par le HCR depuis sa création, en partenariat avec l'association Food Sweet Food, est un événement itinérant qui confie les cuisines de restaurants à des chefs réfugiés.
  • Le chef afghan réfugié, Reza Golami, cuisine au restaurant 'It' d'Athènes, en Grèce, le 22 juin 2017, à l'occasion du Refugee Food Festival. Cette année, le festival gastronomique se déroule dans 13 grandes villes européennes afin de changer le regard sur le statut de réfugié, offrir un tremplin aux chefs réfugiés en facilitant leur accès à l'emploi, et faire découvrir des cuisines venues d'ailleurs.
  • Plat fait de poulet, de prunes et d'amandes préparé par le chef marocain réfugié, Mohammed, et servi au restaurant L'Artisan de Madrid, à l'occasion du Refugee Food Festival.
  • Le chef syrien réfugié, Elias Edlbi, sert un cocktail dans le restaurant Chez Richard à Bruxelles, lors de la première édition du Refugee Food Festival en Belgique, du 19 au 25 juin 2017. Elias est diplômé de l'Université de gestion hôtelière à Aleppo, en Syrie. Il est passioné par la mixologie qu'il a apprise à Beyrouth, au Liban.
  • La chef syrienne réfugiée, Rouba, présente le plat qu'elle a cuisiné au restaurant Mama Campo à Madrid, à l'occasion du Refugee Food Festival, le 25 juin 2017. Cette troisième édition du festival gastronomique se déroule dans 13 villes européennes avec des chefs originaires d'Afghanistan, d'Erythrée, d'Iran, de Somalie, de Syrie et d'Ukraine.
  • Meirelle, une chef réfugiée originaire du Togo, explique comment elle a cuisiné le plat qu'elle présente aux clients d'Eataly à Milan, le 20 juin 2017, à l'occasion de la Journée Mondiale du réfugié.
  • Le chef syrien réfugié, Mohammad Elkhaldy (au centre), s'apprête à cuisiner avec le chef français, Stephane Jego (à droite), au restaurant L'Ami Jean à Paris, le 16 juin 2017, à l'occasion du Refugee Food Festival. Mohammad est un célèbre chef et ancien animateur d'une émission culinaire à la télévision syrienne.
  • Le chef afghan réfugié, Reza Golami, pose avec des clients du restaurant 'It' d'Athènes, le 22 juin 2017, où il cuisine à l'occasion du Refugee Food Festival.
  • Plat préparé par le chef syrien réfugié, Labib, dans un restaurant de Madrid en Espagne, le 20 juin 2017, à l'occasion du Refugee Food Festival.
  • Le chef palestinien réfugié, Bilal Farajallah, et deux employés du restaurant Cipiace à Bruxelles, montrent les plats qu'ils ont préparés pour le Refugee Food Festival, le 25 juin 2017. En Belgique, 8 restaurants ont accueilli 7 chefs réfugiés pour faire découvrir de nouvelles saveurs. Bilal est très reconnaissant d'être en Belgique et exprime sa gratitude par la cuisine.
  • Plats préparés par la chef syrienne réfugiée, Rouba, au restaurant Mama Campo à Madrid, pour le Refugee Food Festival.
  • Le chef du restaurant l'Artisan à Madrid pose dans la cuisine avec la chef ukrainienne réfugiée, Natalia, le 22 juin 2017. Ils cuisinent ensemble à l'occasion du Refugee Food Festival.
  • Le réfugié Mohammed (à droite), un architecte qui cuisine par plaisir, prépare plusieurs plats syriens aux côtés de Luis, le chef du restaurant De Balie à Amsterdam, lors du Refugee Food Festival. "Je ne suis pas un chef formé, mais j'aime cuisiner", déclare Mohammed. "Ma mère m'a appris tout."
  • Le chef togolais réfugié, Zakari Abasse, et la chef éthiopienne, Sara Unatu, préparent des plats avec deux chefs italiens dans le restaurant Ethnos de Borgo à San Lorenzo, à 20 kilomètres de Florence, pour la clôture du Refugee Food Festival le 30 juin 2017.

Good'Week-end Réfugiés d'Ici et d'Ailleurs

18 juin 2017

Le HCR est intervenu à la Fondation GoodPlanet – Domaine de Longchamp lors d'un week-end dédié aux réfugiés, le Good'Week-end Réfugiés d'Ici et d'Ailleurs, les 17 et 18 juin 2017, à l'occasion de la Journée Mondiale du réfugié. 

Le HCR a proposé une programmation pour découvrir et mieux comprendre les enjeux liés aux personnes réfugiées, notamment : une tente du HCR à destination du jeune public avec un quiz sur la situation des réfugiés, les thèmes de l'asile et des déplacements forcés ainsi qu'une visite d'un camp de réfugiés à l'aide de casques de réalité virtuelle.

Céline Schmitt, Porte parole du HCR en France, a discuté de la thématique « Conflits, crises migratoires et insécurité alimentaire – quelles solutions » avec Geneviève Wills, Directrice du Programme alimentaire mondial en France.

  • Fadma et Kamilia du HCR et une journaliste posent en face de la pétition Aveclesréfugiés à l'occasion de la Journée Mondiale du réfugié.
    Fadma et Kamilia du HCR et une journaliste posent en face de la pétition Aveclesréfugiés à l'occasion de la Journée Mondiale du réfugié. © UNHCR/Kamilia Lahrichi
  • Des bénévoles du HCR expliquent aux familles qui participent au Good'Week-end Réfugiés d'Ici et d'Ailleurs à la Fondation GoodPlanet – Domaine de Longchamp la situation des réfugiés dans le monde grâce à un quiz et un jeu de l'oie pour enfants.
    Des bénévoles du HCR expliquent aux familles qui participent au Good'Week-end Réfugiés d'Ici et d'Ailleurs à la Fondation GoodPlanet – Domaine de Longchamp la situation des réfugiés dans le monde grâce à un quiz et un jeu de l'oie pour enfants. © Kamilia Lahrichi
  • Joséphine, stagiaire au HCR, explique que la tente du HCR a été peinte par des enfants du camp de réfugiés de Zaatari en Jordanie, un des camps de réfugiés les plus importants au monde.
    Joséphine, stagiaire au HCR, explique que la tente du HCR a été peinte par des enfants du camp de réfugiés de Zaatari en Jordanie, un des camps de réfugiés les plus importants au monde. © Clélia Alric
  • La tente du HCR exposée au Good'Week-end Réfugiés d'Ici et d'Ailleurs au Domaine de Longchamp les 17 et 18 juin 2017 a été peinte par des enfants du camp de réfugiés de Zaatari en Jordanie, un des camps de réfugiés les plus importants au monde.
    La tente du HCR exposée au Good'Week-end Réfugiés d'Ici et d'Ailleurs au Domaine de Longchamp les 17 et 18 juin 2017 a été peinte par des enfants du camp de réfugiés de Zaatari en Jordanie, un des camps de réfugiés les plus importants au monde. © Clélia Alric
  • Céline Schmitt, Porte-parole du HCR et Geneviève Wills, Directrice du Programme alimentaire mondial en France, participent à une table ronde sur « Conflits, crises migratoires et insécurité alimentaire – quelles solutions  ».
    Céline Schmitt, Porte-parole du HCR et Geneviève Wills, Directrice du Programme alimentaire mondial en France, participent à une table ronde sur « Conflits, crises migratoires et insécurité alimentaire – quelles solutions  ».  © Kamilia Lahrichi
  • L'équipe du HCR France, du PAM et une journaliste posent en face de banderoles de la pétition Aveclesréfugiés au Domaine de Longchamp à Paris lors d'un week de sensibilisation sur la situation des réfugiés le 18 juin 2017.
    L'équipe du HCR France, du PAM et une journaliste posent en face de banderoles de la pétition Aveclesréfugiés au Domaine de Longchamp à Paris lors d'un week de sensibilisation sur la situation des réfugiés le 18 juin 2017. © UNHCR/Kamilia Lahrichi
  • Fadma et Kamilia du HCR et une journaliste posent en face de la pétition Aveclesréfugiés à l'occasion de la Journée Mondiale du réfugié.
  • Des bénévoles du HCR expliquent aux familles qui participent au Good'Week-end Réfugiés d'Ici et d'Ailleurs à la Fondation GoodPlanet – Domaine de Longchamp la situation des réfugiés dans le monde grâce à un quiz et un jeu de l'oie pour enfants.
  • Joséphine, stagiaire au HCR, explique que la tente du HCR a été peinte par des enfants du camp de réfugiés de Zaatari en Jordanie, un des camps de réfugiés les plus importants au monde.
  • La tente du HCR exposée au Good'Week-end Réfugiés d'Ici et d'Ailleurs au Domaine de Longchamp les 17 et 18 juin 2017 a été peinte par des enfants du camp de réfugiés de Zaatari en Jordanie, un des camps de réfugiés les plus importants au monde.
  • Céline Schmitt, Porte-parole du HCR et Geneviève Wills, Directrice du Programme alimentaire mondial en France, participent à une table ronde sur « Conflits, crises migratoires et insécurité alimentaire – quelles solutions  ».
  • L'équipe du HCR France, du PAM et une journaliste posent en face de banderoles de la pétition Aveclesréfugiés au Domaine de Longchamp à Paris lors d'un week de sensibilisation sur la situation des réfugiés le 18 juin 2017.

Semaine de l'apprentissage mobile 2017 à l'UNESCO à Paris

20 mars 2017

Du 20 au 24 mars 2017, le HCR et l'Organisation des Nations unies pour l'éducation, la science et la culture (UNESCO) ont organisé la Semaine de l'apprentissage mobile 2017 au siège de l'UNESCO à Paris. Le thème était : "L'éducation en situation d'urgence et de crise". Plus de 750 experts, des représentants de plus de 60 pays et 500 organisations ont participé à cette semaine d'évènements.

Les conférences et démonstrations d'apprentissage mobiles ont examiné comment l'éducation pouvait être préservée dans des contextes de conflit et de catastrophes, et comment l'innovation dans le secteur de l'éducation pouvait améliorer les interventions humanitaires.

Le HCR a sélectionné et invité cinq étudiants réfugiés à participer à la Semaine de l'apprentissage mobile 2017.  

  • Chelsea Waite et Elyse Gainor du Digital Promise Global présentent leur travail et leurs solutions sur l'apprentissage dans un contexte de crise et de catastrophe dans une tente du HCR lors de la Semaine de l'apprentissage mobile 2017 au siège de l'UNESCO à Paris du 20 au 24 mars 2017. Le thème était : "L'éducation en situation d'urgence et de crise".
    Chelsea Waite et Elyse Gainor du Digital Promise Global présentent leur travail et leurs solutions sur l'apprentissage dans un contexte de crise et de catastrophe dans une tente du HCR lors de la Semaine de l'apprentissage mobile 2017 au siège de l'UNESCO à Paris du 20 au 24 mars 2017. Le thème était : "L'éducation en situation d'urgence et de crise".  © UNHCR/Antoine Tardy
  • Le HCR, en partenariat avec le gouvernement allemand, a organisé l'exposition "L'Autre Un Pourcent" lors de la Semaine de l'apprentissage mobile 2017 au siège de l'UNESCO à Paris du 20 au 24 mars 2017. L'exposition de photographies se concentre sur l'accès à l'enseignement supérieur grâce aux programmes DAFI et Connected Learning au Kenya et en Jordanie.
    Le HCR, en partenariat avec le gouvernement allemand, a organisé l'exposition "L'Autre Un Pourcent" lors de la Semaine de l'apprentissage mobile 2017 au siège de l'UNESCO à Paris du 20 au 24 mars 2017. L'exposition de photographies se concentre sur l'accès à l'enseignement supérieur grâce aux programmes DAFI et Connected Learning au Kenya et en Jordanie.  © UNHCR/Antoine Tardy
  • Grace Muvunyi Nshimiyumukiza, une étudiante réfugiée de 21 ans née en Tanzanie mais originaire du Rwanda, a été sélectionnée pour participer à la Semaine de l'apprentissage mobile 2017, un évènement co-organisé par le HCR et l'UNESCO, du 20 au 24 mars, à Paris. Grace vit dans le camp de réfugiés Kakuma au Kenya. Elle fait des études libérales à l'Université Regis.
    Grace Muvunyi Nshimiyumukiza, une étudiante réfugiée de 21 ans née en Tanzanie mais originaire du Rwanda, a été sélectionnée pour participer à la Semaine de l'apprentissage mobile 2017, un évènement co-organisé par le HCR et l'UNESCO, du 20 au 24 mars, à Paris. Grace vit dans le camp de réfugiés Kakuma au Kenya. Elle fait des études libérales à l'Université Regis. © UNHCR/Antoine Tardy
  • Jonas Havugimana (à gauche) et Grace Muvunyi Nshimiyumukiza (au centre) assistent à une démonstration d'apprentissage mobile du Digital Promise Global dans une tente du HCR lors de la Semaine de l'apprentissage mobile 2017, tenue au siège de l'UNESCO à Paris, du 20 au 24 mars 2017. Jonas est un étudiant en médecine congolais de 27 ans qui est réfugié au Rwanda. Grace est une étudiante réfugiée de 21 ans originaire du Rwanda, née en Tanzanie et résidente du camp de réfugiés Kakuma au Kenya.
    Jonas Havugimana (à gauche) et Grace Muvunyi Nshimiyumukiza (au centre) assistent à une démonstration d'apprentissage mobile du Digital Promise Global dans une tente du HCR lors de la Semaine de l'apprentissage mobile 2017, tenue au siège de l'UNESCO à Paris, du 20 au 24 mars 2017. Jonas est un étudiant en médecine congolais de 27 ans qui est réfugié au Rwanda. Grace est une étudiante réfugiée de 21 ans originaire du Rwanda, née en Tanzanie et résidente du camp de réfugiés Kakuma au Kenya. © UNHCR/Antoine Tardy
  • Grace Muvunyi Nshimiyumukiza, une étudiante réfugiée de 21 ans née en Tanzanie mais originaire du Rwanda, a été sélectionnée pour participer à la Semaine de l'apprentissage mobile 2017, un évènement co-organisé par le HCR et l'UNESCO, du 20 au 24 mars, à Paris. Grace vit dans le camp de réfugiés Kakuma au Kenya. Elle fait des études libérales à l'Université Regis.
    Grace Muvunyi Nshimiyumukiza, une étudiante réfugiée de 21 ans née en Tanzanie mais originaire du Rwanda, a été sélectionnée pour participer à la Semaine de l'apprentissage mobile 2017, un évènement co-organisé par le HCR et l'UNESCO, du 20 au 24 mars, à Paris. Grace vit dans le camp de réfugiés Kakuma au Kenya. Elle fait des études libérales à l'Université Regis.  © UNHCR/Antoine Tardy
  • Chelsea Waite et Elyse Gainor du Digital Promise Global présentent leur travail et leurs solutions dans une tente du HCR lors de la Semaine de l'apprentissage mobile 2017 au siège de l'UNESCO à Paris du 20 au 24 mars 2017.
    Chelsea Waite et Elyse Gainor du Digital Promise Global présentent leur travail et leurs solutions dans une tente du HCR lors de la Semaine de l'apprentissage mobile 2017 au siège de l'UNESCO à Paris du 20 au 24 mars 2017.  © UNHCR/Antoine Tardy
  • Jacqueline Strecker (à droite), Manager du Learn Lab du HCR, présente une solution d'apprentissage mobile au stand du HCR lors de la Semaine de l'apprentissage mobile 2017 au siège de l'UNESCO à Paris. Le thème était : "L'éducation en situation d'urgence et de crise".
    Jacqueline Strecker (à droite), Manager du Learn Lab du HCR, présente une solution d'apprentissage mobile au stand du HCR lors de la Semaine de l'apprentissage mobile 2017 au siège de l'UNESCO à Paris. Le thème était : "L'éducation en situation d'urgence et de crise".  © UNHCR/Antoine Tardy
  • Chelsea Waite (à droite) et Elyse Gainor (deuxième à droite), du Digital Promise Global, présentent leur travail et leurs solutions dans une tente du HCR lors de la Semaine de l'apprentissage mobile 2017 au siège de l'UNESCO à Paris, du 20 au 24 mars 2017. À gauche, Jonas Havugimana, âgé de 27 ans, est un étudiant congolais en médecine qui est actuellement réfugié au Rwanda. Grace Muvunyi Nshimiyumukiza (deuxième à gauche), une étudiante réfugiée de 21 ans originaire du Rwanda, est née en Tanzanie et réside dans le camp de réfugiés Kakuma au Kenya.
    Chelsea Waite (à droite) et Elyse Gainor (deuxième à droite), du Digital Promise Global, présentent leur travail et leurs solutions dans une tente du HCR lors de la Semaine de l'apprentissage mobile 2017 au siège de l'UNESCO à Paris, du 20 au 24 mars 2017. À gauche, Jonas Havugimana, âgé de 27 ans, est un étudiant congolais en médecine qui est actuellement réfugié au Rwanda. Grace Muvunyi Nshimiyumukiza (deuxième à gauche), une étudiante réfugiée de 21 ans originaire du Rwanda, est née en Tanzanie et réside dans le camp de réfugiés Kakuma au Kenya. © UNHCR/Antoine Tardy
  • Romans Manyiel Garang, un réfugié du Soudan du Sud, pose en face d'une sculpture de l'artiste suisse, Alberto Giacometti, au siège de l'UNESCO à Paris, lors de la Semaine de l'apprentissage mobile 2017. Le jeune de 23 ans vit dans le camp de réfugiés de Kakuma au Kenya. Il est enseignant à l'école primaire. Il perfectionne ses compétences pédagogiques grâce à l'initiative Teacher for Teacher, coordonnée par l'Université de Columbia aux Etats Unis. Romains est également récipiendaire de la bourse de World University Services of Canada (WUSC), ce qui lui permettra d'étudier et de se réinstaller au Canada.
    Romans Manyiel Garang, un réfugié du Soudan du Sud, pose en face d'une sculpture de l'artiste suisse, Alberto Giacometti, au siège de l'UNESCO à Paris, lors de la Semaine de l'apprentissage mobile 2017. Le jeune de 23 ans vit dans le camp de réfugiés de Kakuma au Kenya. Il est enseignant à l'école primaire. Il perfectionne ses compétences pédagogiques grâce à l'initiative Teacher for Teacher, coordonnée par l'Université de Columbia aux Etats Unis. Romains est également récipiendaire de la bourse de World University Services of Canada (WUSC), ce qui lui permettra d'étudier et de se réinstaller au Canada. © UNHCR/Antoine Tardy
  • L'équipe du Digital Promise Global présente ses travaux et ses solutions dans une tente du HCR lors de la Semaine de l'apprentissage mobile 2017 au siège de l'UNESCO à Paris. Le thème était : "L'éducation en situation d'urgence et de crise". Plus de 750 experts, des représentants de plus de 60 pays et 500 organisations ont participé à cette semaine d'évènements.
    L'équipe du Digital Promise Global présente ses travaux et ses solutions dans une tente du HCR lors de la Semaine de l'apprentissage mobile 2017 au siège de l'UNESCO à Paris. Le thème était : "L'éducation en situation d'urgence et de crise". Plus de 750 experts, des représentants de plus de 60 pays et 500 organisations ont participé à cette semaine d'évènements. © UNHCR/Antoine Tardy
  • Grace Muvunyi Nshimiyumukiza, une étudiante réfugiée de 21 ans née en Tanzanie mais originaire du Rwanda, pose en face du siège de l'UNESCO à Paris le 21 mars 2017. Elle a été sélectionnée pour participer à la Semaine de l'apprentissage mobile 2017, un évènement co-organisé par le HCR et l'UNESCO, du 20 au 24 mars, à Paris. Grace vit dans le camp de réfugiés Kakuma au Kenya. Elle fait des études libérales à l'Université Regis.
    Grace Muvunyi Nshimiyumukiza, une étudiante réfugiée de 21 ans née en Tanzanie mais originaire du Rwanda, pose en face du siège de l'UNESCO à Paris le 21 mars 2017. Elle a été sélectionnée pour participer à la Semaine de l'apprentissage mobile 2017, un évènement co-organisé par le HCR et l'UNESCO, du 20 au 24 mars, à Paris. Grace vit dans le camp de réfugiés Kakuma au Kenya. Elle fait des études libérales à l'Université Regis.  © UNHCR/Antoine Tardy
  • Chelsea Waite et Elyse Gainor du Digital Promise Global présentent leur travail et leurs solutions sur l'apprentissage dans un contexte de crise et de catastrophe dans une tente du HCR lors de la Semaine de l'apprentissage mobile 2017 au siège de l'UNESCO à Paris du 20 au 24 mars 2017. Le thème était : "L'éducation en situation d'urgence et de crise".
  • Le HCR, en partenariat avec le gouvernement allemand, a organisé l'exposition "L'Autre Un Pourcent" lors de la Semaine de l'apprentissage mobile 2017 au siège de l'UNESCO à Paris du 20 au 24 mars 2017. L'exposition de photographies se concentre sur l'accès à l'enseignement supérieur grâce aux programmes DAFI et Connected Learning au Kenya et en Jordanie.
  • Grace Muvunyi Nshimiyumukiza, une étudiante réfugiée de 21 ans née en Tanzanie mais originaire du Rwanda, a été sélectionnée pour participer à la Semaine de l'apprentissage mobile 2017, un évènement co-organisé par le HCR et l'UNESCO, du 20 au 24 mars, à Paris. Grace vit dans le camp de réfugiés Kakuma au Kenya. Elle fait des études libérales à l'Université Regis.
  • Jonas Havugimana (à gauche) et Grace Muvunyi Nshimiyumukiza (au centre) assistent à une démonstration d'apprentissage mobile du Digital Promise Global dans une tente du HCR lors de la Semaine de l'apprentissage mobile 2017, tenue au siège de l'UNESCO à Paris, du 20 au 24 mars 2017. Jonas est un étudiant en médecine congolais de 27 ans qui est réfugié au Rwanda. Grace est une étudiante réfugiée de 21 ans originaire du Rwanda, née en Tanzanie et résidente du camp de réfugiés Kakuma au Kenya.
  • Grace Muvunyi Nshimiyumukiza, une étudiante réfugiée de 21 ans née en Tanzanie mais originaire du Rwanda, a été sélectionnée pour participer à la Semaine de l'apprentissage mobile 2017, un évènement co-organisé par le HCR et l'UNESCO, du 20 au 24 mars, à Paris. Grace vit dans le camp de réfugiés Kakuma au Kenya. Elle fait des études libérales à l'Université Regis.
  • Chelsea Waite et Elyse Gainor du Digital Promise Global présentent leur travail et leurs solutions dans une tente du HCR lors de la Semaine de l'apprentissage mobile 2017 au siège de l'UNESCO à Paris du 20 au 24 mars 2017.
  • Jacqueline Strecker (à droite), Manager du Learn Lab du HCR, présente une solution d'apprentissage mobile au stand du HCR lors de la Semaine de l'apprentissage mobile 2017 au siège de l'UNESCO à Paris. Le thème était : "L'éducation en situation d'urgence et de crise".
  • Chelsea Waite (à droite) et Elyse Gainor (deuxième à droite), du Digital Promise Global, présentent leur travail et leurs solutions dans une tente du HCR lors de la Semaine de l'apprentissage mobile 2017 au siège de l'UNESCO à Paris, du 20 au 24 mars 2017. À gauche, Jonas Havugimana, âgé de 27 ans, est un étudiant congolais en médecine qui est actuellement réfugié au Rwanda. Grace Muvunyi Nshimiyumukiza (deuxième à gauche), une étudiante réfugiée de 21 ans originaire du Rwanda, est née en Tanzanie et réside dans le camp de réfugiés Kakuma au Kenya.
  • Romans Manyiel Garang, un réfugié du Soudan du Sud, pose en face d'une sculpture de l'artiste suisse, Alberto Giacometti, au siège de l'UNESCO à Paris, lors de la Semaine de l'apprentissage mobile 2017. Le jeune de 23 ans vit dans le camp de réfugiés de Kakuma au Kenya. Il est enseignant à l'école primaire. Il perfectionne ses compétences pédagogiques grâce à l'initiative Teacher for Teacher, coordonnée par l'Université de Columbia aux Etats Unis. Romains est également récipiendaire de la bourse de World University Services of Canada (WUSC), ce qui lui permettra d'étudier et de se réinstaller au Canada.
  • L'équipe du Digital Promise Global présente ses travaux et ses solutions dans une tente du HCR lors de la Semaine de l'apprentissage mobile 2017 au siège de l'UNESCO à Paris. Le thème était : "L'éducation en situation d'urgence et de crise". Plus de 750 experts, des représentants de plus de 60 pays et 500 organisations ont participé à cette semaine d'évènements.
  • Grace Muvunyi Nshimiyumukiza, une étudiante réfugiée de 21 ans née en Tanzanie mais originaire du Rwanda, pose en face du siège de l'UNESCO à Paris le 21 mars 2017. Elle a été sélectionnée pour participer à la Semaine de l'apprentissage mobile 2017, un évènement co-organisé par le HCR et l'UNESCO, du 20 au 24 mars, à Paris. Grace vit dans le camp de réfugiés Kakuma au Kenya. Elle fait des études libérales à l'Université Regis.

Collecte de jouets au profit d'enfants réfugiés

18 décembre 2016

Le HCR, en partenariat avec Aviation Sans Frontières, a organisé une journée d'activités au musée du quai Branly à Paris, le 18 décembre 2016, afin de sensibiliser les enfants à la situation des réfugiés dans le monde et, notamment, au Soudan du Sud, où un conflit a généré 1,3 million de réfugiés. L'objectif était de rapprocher le monde des réfugiés des enfants français et de collecter des jouets à envoyer au moment de Noël aux enfants sud-soudanais.

Pour aider les enfants à mieux comprendre cet enjeu, deux athlètes de l'équipe olympique des athlètes réfugiés ayant participé aux Jeux olympiques de Rio 2016, étaient présents : Yiech Pur Biel, un Soudanais du Sud qui a disputé la course du 800 mètres, et Rami Anis, un Syrien qui a pris part à l'épreuve du 100 mètres papillon.

C'est avec joie que le 23 août 2017, des enfants du camp de réfugiés de Gorom, à 26 kilomètres de la capitale sud soudanaise, Juba, ont reçu ces jouets, distribué par le HCR et son partenaire ACROSS et acheminés par Aviation Sans Frontières. Ce camp a été mis en place en 2010 et accueille 1833 réfugiés, principalement originaires d'Ethiopie.

« D'habitude, nous jouons à la balle et à courir et sauter ici et là. Nous avons aussi des jouets que nous fabriquons nous-mêmes avec de la terre et du bois, » a déclaré Manrirany, une jeune fille de 10 ans, l'une des 1000 enfants qui vivent dans le camp de réfugié de Gorom.

« Je n'ai jamais vu de tels jouets, cela ne me dérange pas de les partager avec les autres mais j'aimerais tant pouvoir avoir un jouet à moi, » rajoute Manrirany, avec un sourire timide.

  • Le nageur Rami Anis et le coureur Yiech Pur Biel, qui ont concuru aux Jeux olympiques de Rio 2016 au sein de l'Equipe olympique des athlètes réfugiés, participent à des activités avec des enfants au Musée du Quai Branly, à Paris, le 18 décembre 2016, lors d'une journée d'activités organisée par le HCR et Aviation Sans Frontières, pour livrer des jouets collectés pour des enfants dans un camps de réfugiés au Soudan du Sud.
    Le nageur Rami Anis et le coureur Yiech Pur Biel, qui ont concuru aux Jeux olympiques de Rio 2016 au sein de l'Equipe olympique des athlètes réfugiés, participent à des activités avec des enfants au Musée du Quai Branly, à Paris, le 18 décembre 2016, lors d'une journée d'activités organisée par le HCR et Aviation Sans Frontières, pour livrer des jouets collectés pour des enfants dans un camps de réfugiés au Soudan du Sud. © UNHCR/ Benjamin Loyseau
  • Le coureur sud-soudanais, Yiech Pur Biel, qui a participé aux Jeux olympiques de Rio 2016 au sein de l'Equipe olympique des athlètes réfugiés, rencontre des enfants français au musée du Quai Branly à Paris, le 18 décembre 2016, pour les sensibiliser à la situation des réfugiés et les inviter à envoyer des cadeaux de Noël aux enfants réfugiés au Soudan du Sud.
    Le coureur sud-soudanais, Yiech Pur Biel, qui a participé aux Jeux olympiques de Rio 2016 au sein de l'Equipe olympique des athlètes réfugiés, rencontre des enfants français au musée du Quai Branly à Paris, le 18 décembre 2016, pour les sensibiliser à la situation des réfugiés et les inviter à envoyer des cadeaux de Noël aux enfants réfugiés au Soudan du Sud.  © UNHCR/Benjamin Loyseau
  • Le nageur Rami Anis et le coureur Yiech Pur Biel, qui ont concuru aux Jeux olympiques de Rio 2016 au sein de l'Equipe olympique des athlètes réfugiés, participent à des activités avec des enfants au Musée du Quai Branly, à Paris, le 18 décembre 2016, lors d'une journée d'activités organisée par le HCR et Aviation Sans Frontières, pour livrer des jouets collectés pour des enfants dans un camps de réfugiés au Soudan du Sud.
    Le nageur Rami Anis et le coureur Yiech Pur Biel, qui ont concuru aux Jeux olympiques de Rio 2016 au sein de l'Equipe olympique des athlètes réfugiés, participent à des activités avec des enfants au Musée du Quai Branly, à Paris, le 18 décembre 2016, lors d'une journée d'activités organisée par le HCR et Aviation Sans Frontières, pour livrer des jouets collectés pour des enfants dans un camps de réfugiés au Soudan du Sud. © UNHCR/ Benjamin Loyseau
  • Le nageur Rami Anis et le coureur Yiech Pur Biel, qui ont concuru aux Jeux olympiques de Rio 2016 au sein de l'Equipe olympique des athlètes réfugiés, participent à des activités avec des enfants au Musée du Quai Branly, à Paris, le 18 décembre 2016, lors d'une journée d'activités organisée par le HCR et Aviation Sans Frontières, pour livrer des jouets collectés pour des enfants dans un camps de réfugiés au Soudan du Sud.
    Le nageur Rami Anis et le coureur Yiech Pur Biel, qui ont concuru aux Jeux olympiques de Rio 2016 au sein de l'Equipe olympique des athlètes réfugiés, participent à des activités avec des enfants au Musée du Quai Branly, à Paris, le 18 décembre 2016, lors d'une journée d'activités organisée par le HCR et Aviation Sans Frontières, pour livrer des jouets collectés pour des enfants dans un camps de réfugiés au Soudan du Sud.  © UNHCR/Benjamin Loyseau
  • Des bénévoles du HCR se tiennent debout lors d'une journée d'activités organisée par le HCR et Aviation Sans Frontières pour livrer des jouets collectés pour des enfants dans un camps de réfugiés au Soudan du Sud, le 18 décembre 2016.
    Des bénévoles du HCR se tiennent debout lors d'une journée d'activités organisée par le HCR et Aviation Sans Frontières pour livrer des jouets collectés pour des enfants dans un camps de réfugiés au Soudan du Sud, le 18 décembre 2016. © UNHCR/Benjamin Loyseau
  • Des enfants réfugiés dans le camp de Gorom, au Soudan du Sud, recoivent le 23 août 2017 les jouets collectés au musée du Quai Branly à Paris. Ce camp a été mis en place en 2010 et accueille 1833 réfugiés, principalement originaires d'Ethiopie.
    Des enfants réfugiés dans le camp de Gorom, au Soudan du Sud, recoivent le 23 août 2017 les jouets collectés au musée du Quai Branly à Paris. Ce camp a été mis en place en 2010 et accueille 1833 réfugiés, principalement originaires d'Ethiopie.  © UNHCR/Eujin Byun
  • Des enfants réfugiés dans le camp de Gorom, au Soudan du Sud, recoivent le 23 août 2017 les jouets collectés au musée du Quai Branly à Paris. Ce camp a été mis en place en 2010 et accueille 1833 réfugiés, principalement originaires d'Ethiopie.
    Des enfants réfugiés dans le camp de Gorom, au Soudan du Sud, recoivent le 23 août 2017 les jouets collectés au musée du Quai Branly à Paris. Ce camp a été mis en place en 2010 et accueille 1833 réfugiés, principalement originaires d'Ethiopie.  © UNHCR/Eujin Byun
  • Des enfants réfugiés dans le camp de Gorom, au Soudan du Sud, recoivent le 23 août 2017 les jouets collectés au musée du Quai Branly à Paris. Ce camp a été mis en place en 2010 et accueille 1833 réfugiés, principalement originaires d'Ethiopie.
    Des enfants réfugiés dans le camp de Gorom, au Soudan du Sud, recoivent le 23 août 2017 les jouets collectés au musée du Quai Branly à Paris. Ce camp a été mis en place en 2010 et accueille 1833 réfugiés, principalement originaires d'Ethiopie.  © UNHCR/Eujin Byun
  • Des enfants réfugiés dans le camp de Gorom, au Soudan du Sud, recoivent le 23 août 2017 les jouets collectés au musée du Quai Branly à Paris. Ce camp a été mis en place en 2010 et accueille 1833 réfugiés, principalement originaires d'Ethiopie.
    Des enfants réfugiés dans le camp de Gorom, au Soudan du Sud, recoivent le 23 août 2017 les jouets collectés au musée du Quai Branly à Paris. Ce camp a été mis en place en 2010 et accueille 1833 réfugiés, principalement originaires d'Ethiopie.  © UNHCR/Eujin Byun
  • Des enfants réfugiés dans le camp de Gorom, au Soudan du Sud, recoivent le 23 août 2017 les jouets collectés au musée du Quai Branly à Paris. Ce camp a été mis en place en 2010 et accueille 1833 réfugiés, principalement originaires d'Ethiopie.
    Des enfants réfugiés dans le camp de Gorom, au Soudan du Sud, recoivent le 23 août 2017 les jouets collectés au musée du Quai Branly à Paris. Ce camp a été mis en place en 2010 et accueille 1833 réfugiés, principalement originaires d'Ethiopie.  © UNHCR/Eujin Byun
  • Des enfants réfugiés dans le camp de Gorom, au Soudan du Sud, recoivent le 23 août 2017 les jouets collectés au musée du Quai Branly à Paris. Ce camp a été mis en place en 2010 et accueille 1833 réfugiés, principalement originaires d'Ethiopie.
    Des enfants réfugiés dans le camp de Gorom, au Soudan du Sud, recoivent le 23 août 2017 les jouets collectés au musée du Quai Branly à Paris. Ce camp a été mis en place en 2010 et accueille 1833 réfugiés, principalement originaires d'Ethiopie.  © UNHCR/Eujin Byun
  • Des enfants réfugiés dans le camp de Gorom, au Soudan du Sud, recoivent le 23 août 2017 les jouets collectés au musée du Quai Branly à Paris. Ce camp a été mis en place en 2010 et accueille 1833 réfugiés, principalement originaires d'Ethiopie.
    Des enfants réfugiés dans le camp de Gorom, au Soudan du Sud, recoivent le 23 août 2017 les jouets collectés au musée du Quai Branly à Paris. Ce camp a été mis en place en 2010 et accueille 1833 réfugiés, principalement originaires d'Ethiopie.  © UNHCR/Eujin Byun
  • Des enfants réfugiés dans le camp de Gorom, au Soudan du Sud, recoivent le 23 août 2017 les jouets collectés au musée du Quai Branly à Paris. Ce camp a été mis en place en 2010 et accueille 1833 réfugiés, principalement originaires d'Ethiopie.
    Des enfants réfugiés dans le camp de Gorom, au Soudan du Sud, recoivent le 23 août 2017 les jouets collectés au musée du Quai Branly à Paris. Ce camp a été mis en place en 2010 et accueille 1833 réfugiés, principalement originaires d'Ethiopie.  © UNHCR/Eujin Byun
  • Le nageur Rami Anis et le coureur Yiech Pur Biel, qui ont concuru aux Jeux olympiques de Rio 2016 au sein de l'Equipe olympique des athlètes réfugiés, participent à des activités avec des enfants au Musée du Quai Branly, à Paris, le 18 décembre 2016, lors d'une journée d'activités organisée par le HCR et Aviation Sans Frontières, pour livrer des jouets collectés pour des enfants dans un camps de réfugiés au Soudan du Sud.
  • Le coureur sud-soudanais, Yiech Pur Biel, qui a participé aux Jeux olympiques de Rio 2016 au sein de l'Equipe olympique des athlètes réfugiés, rencontre des enfants français au musée du Quai Branly à Paris, le 18 décembre 2016, pour les sensibiliser à la situation des réfugiés et les inviter à envoyer des cadeaux de Noël aux enfants réfugiés au Soudan du Sud.
  • Le nageur Rami Anis et le coureur Yiech Pur Biel, qui ont concuru aux Jeux olympiques de Rio 2016 au sein de l'Equipe olympique des athlètes réfugiés, participent à des activités avec des enfants au Musée du Quai Branly, à Paris, le 18 décembre 2016, lors d'une journée d'activités organisée par le HCR et Aviation Sans Frontières, pour livrer des jouets collectés pour des enfants dans un camps de réfugiés au Soudan du Sud.
  • Le nageur Rami Anis et le coureur Yiech Pur Biel, qui ont concuru aux Jeux olympiques de Rio 2016 au sein de l'Equipe olympique des athlètes réfugiés, participent à des activités avec des enfants au Musée du Quai Branly, à Paris, le 18 décembre 2016, lors d'une journée d'activités organisée par le HCR et Aviation Sans Frontières, pour livrer des jouets collectés pour des enfants dans un camps de réfugiés au Soudan du Sud.
  • Des bénévoles du HCR se tiennent debout lors d'une journée d'activités organisée par le HCR et Aviation Sans Frontières pour livrer des jouets collectés pour des enfants dans un camps de réfugiés au Soudan du Sud, le 18 décembre 2016.
  • Des enfants réfugiés dans le camp de Gorom, au Soudan du Sud, recoivent le 23 août 2017 les jouets collectés au musée du Quai Branly à Paris. Ce camp a été mis en place en 2010 et accueille 1833 réfugiés, principalement originaires d'Ethiopie.
  • Des enfants réfugiés dans le camp de Gorom, au Soudan du Sud, recoivent le 23 août 2017 les jouets collectés au musée du Quai Branly à Paris. Ce camp a été mis en place en 2010 et accueille 1833 réfugiés, principalement originaires d'Ethiopie.
  • Des enfants réfugiés dans le camp de Gorom, au Soudan du Sud, recoivent le 23 août 2017 les jouets collectés au musée du Quai Branly à Paris. Ce camp a été mis en place en 2010 et accueille 1833 réfugiés, principalement originaires d'Ethiopie.
  • Des enfants réfugiés dans le camp de Gorom, au Soudan du Sud, recoivent le 23 août 2017 les jouets collectés au musée du Quai Branly à Paris. Ce camp a été mis en place en 2010 et accueille 1833 réfugiés, principalement originaires d'Ethiopie.
  • Des enfants réfugiés dans le camp de Gorom, au Soudan du Sud, recoivent le 23 août 2017 les jouets collectés au musée du Quai Branly à Paris. Ce camp a été mis en place en 2010 et accueille 1833 réfugiés, principalement originaires d'Ethiopie.
  • Des enfants réfugiés dans le camp de Gorom, au Soudan du Sud, recoivent le 23 août 2017 les jouets collectés au musée du Quai Branly à Paris. Ce camp a été mis en place en 2010 et accueille 1833 réfugiés, principalement originaires d'Ethiopie.
  • Des enfants réfugiés dans le camp de Gorom, au Soudan du Sud, recoivent le 23 août 2017 les jouets collectés au musée du Quai Branly à Paris. Ce camp a été mis en place en 2010 et accueille 1833 réfugiés, principalement originaires d'Ethiopie.
  • Des enfants réfugiés dans le camp de Gorom, au Soudan du Sud, recoivent le 23 août 2017 les jouets collectés au musée du Quai Branly à Paris. Ce camp a été mis en place en 2010 et accueille 1833 réfugiés, principalement originaires d'Ethiopie.

 

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