Nouvelles et récits

Le 31 décembre 2015, 1,326 personnes apatrides habitaient en France. Lisez les histoires de cinq personnes et comment l’apatridie a affecté leurs vies.

«Même si je n’ai pas de nationalité, Je suis un être humain normal. »

Quand la maison d’Idrees, alors bébé, a été détruite en Syrie, sa famille a tout perdu, sauf ce que sa grand-mère avait gardé dans son porte-monnaie.

Kavita, 22 ans, est née en Malaysie et veut devenir professeur d’art. Elle s’est vu offrir des postes dans diverses écoles, mais ne peut les accepter car elle est apatride.

« La seule chose dont j’ai besoin pour concrétiser mon rêve, c’est la citoyenneté »

Voici l’histoire de trois enfants qui ont grandi en Côte d’Ivoire sans nationalité parce qu’ils ont été abandonnés par l’un ou par tous les deux parents.

Joe Hullman vous regarde droit dans les yeux et s’exprime en espagnol avec calme et assurance, bien qu’il n’ait que 13 ans.

Rama, 9 ans, trouve que l’apatridie est une chose injuste. Regardez la vidéo et découvrez pourquoi.

Aujourd’hui, dans le monde entier, plus de 10 millions de personnes s’entendent dire qu’elles n’existent nulle part.

#IBELONG dans un monde où toute personne a droit à une nationalité. Nous avons besoin de dix millions de signatures pour changer dix millions de vies.

“Etre apatride, c’est comme ne pas exister, vous n’existez tout simplement pas. Vous vivez dans un monde parallèle sans aucune preuve de votre identité”