Je m’appelle Marcos Celso Cardoso..
Je suis né le 7 mars 1960 à Rio de Janeiro. Je vis à Maricá - Rio de Janeiro.
Mes sites web favoris sont ceux qui ont un lien avec l'art et le sport.
Ma présence au Musée Olympique signifie l'un des temps forts de ma carrière.
Mes projets futurs sont de réaliser de belles œuvres pour l’exposition au Musée Olympique et de continuer à travailler dans le domaine que j'affectionne le plus : l'art.
Ma première exposition date de 1992.
J'ai exposé dans le monde entier, notamment au Musée de la gravure en Espagne et à la Fondation Cartier à Paris.
Les principales étapes de mon parcours artistique sont lorsque mes œuvres ont rejoint les collections de Gilberto Chateaubriand (MAM RJ) et de João Satamini (MAC, Niterói), et ont été achetées par la Fondation Cartier et l'artiste brésilienne Beatriz Milhazes.
La caractéristique de ma démarche artistique est le lien très étroit qui unit mes œuvres à la culture populaire brésilienne, bâtissant ainsi un pont avec ce que l'on appelle les arts majeurs comme le constructivisme ou le tropicalisme.
J'ai été influencé par des artistes comme Arthur Bispo do Rosário, Ligia Pape, Helio Oiticica, Robert Rochenberg ou encore Tapié, pour n'en citer que quelques-uns.
J’utilise tout particulièrement des objets dont la société de consommation ne veut plus, cela me fascine. Les possibilités qu'offrent tous ces matériaux sur le plan esthétique sont énormes.
Du marketing haut en couleur à la texture des mégots de cigarette, joie et tristesse s'entremêlent, faisant de mes œuvres un signal d'alarme annonçant l'imminence d'une hécatombe écologique.
La ville de Rio m’inspire par sa belle nature.
Le sport est une source d'inspiration pour moi de par la beauté plastique des mouvements, les uniformes aux couleurs vives et les émotions qu'il fait naître chez le public.
Les Jeux Olympiques de Rio pour moi c’est synonyme de joie, de santé, de développement, d'esprit de collectivité et de célébration.
Né à Paraty dans l’Etat de Rio, ville historique à l’architecture coloniale, classée au patrimoine de l’humanité par l'UNESCO.
Marcos Cardoso crée avec tout ce qu’il trouve. Sandales abandonnées, allumettes, sachets d’emballage deviennent les matériaux avec lesquels il revisite les chefs d’œuvre de l’art occidental.
« L’Acrobate » visible au Musée, appartient à sa série Picasso. Le tableau est réalisé avec des sacs plastiques de supermarché. Une façon pour l’artiste de rapprocher culture d’élite et culture populaire.