Sa détermination et sa pugnacité en football féminin n’ont cessé d’inspirer les jeunes joueuses du monde entier.
Un début prometteur
Mia Hamm intégra l’équipe nationale des États-Unis à l’âge de 15 ans et elle marqua son premier but international à 18 ans. En 1991, elle faisait partie de l’équipe des États-Unis qui remporta la Coupe du monde de football.
Quel que soit l’effort exigé
Lors du premier tournoi féminin de football olympique en 1996, Hamm se foula la cheville dans l’une des premiers rencontres, mais elle ne manqua qu’un seul match. Dans la finale contre la Chine, les États-Unis marquèrent 2 - 1. La cheville de Hamm était si douloureuse, qu’elle ne put se joindre à ses coéquipières dans le tour de stade célébrant leur victoire après le match.
Une marqueuse record
Le 22 mars 1999, dans un match contre le Brésil, Hamm marqua son 108e but international, ce qui battit le record de carrière précédemment détenu par l’Italienne Elisabetta Vignotto. Aux Jeux à Sydney en 2000, Hamm aida les États-Unis à se qualifier en finale en marquant le seul but dans la demi-finale victorieuse contre le Brésil.
Une inspiratrice en or
Par son jeu, Hamm domina le football des années 90 et elle n’a pas cessé depuis d’inspirer les jeunes joueuses du monde entier. À Athènes, aux Jeux de 2004, avec l’équipe américaine, elle a décroché la médaille d’or, battant les Brésiliennes 2 - 1 dans les prolongations.