La parole aux réfugiés
Une famille réfugiée élargie arrive au site de Kyangwali en Ouganda
A l'arrivée d'un convoi à l'installation de réfugiés de Kyangwali, le patriarche d'une famille évoque l'exil vers l'Ouganda et sa détermination de rester tous ensemble.
Après avoir été otage de la LRA, Rose devient couturière
Rose est mariée et elle attend son deuxième enfant. Sa vie était difficile avant qu'elle ne rencontre la lauréate 2013 de la distinction Nansen pour les réfugiés, qui l'a aidée à reconstruire sa vie et à apprendre un métier.
Un lien fort unit la lauréate 2013 de la distinction Nansen et ses bénéficiaires
Soeur Angélique, la lauréate de la distinction Nansen du HCR pour les réfugiés, considèrent comme ses filles les adolescentes qu'elle a aidées à reconstruire leur vie.
Le chant joyeux d'une ancienne esclave de l'Armée de résistance du Seigneur
Après huit mois passés en captivité quand elle était adolescente, Monique élève son fils et réalise son rêve : devenir couturière avec le soutien de Soeur Angélique Namaika.
Autrefois réfugiés congolais en RCA, ils hébergent aujourd'hui leurs hôtes ayant fui la RCA
Des Congolais des provinces du nord ont fui plusieurs fois vers la République centrafricaine ces dernières années. Aujourd'hui, 40 000 réfugiés centrafricains ont rejoint la RDC.
La sécurité pour une famille soudanaise arrivée en Syrie
Cette famille soudanaise a été transférée en urgence depuis la Syrie vers le Centre de transit d'urgence en Roumanie, avant d'être réinstallée aux Pays-Bas.
Rencontre d'un photographe avec l'innocence dans un camp de réfugiés du Sud-Soudan
Le photographe britannique Sebastian Rich travaille avec le HCR en Afrique et aux États-Unis. Les réfugiés qu'il y a rencontrés lui ont donné matière à réfléchir.
Un jeune réfugié ivoirien découvre un autre monde en Tunisie
Dans un camp de réfugiés en Tunisie, la fabrication de bijoux aide Abdel, un jeune réfugié ivoirien, à retrouver espoir pour son avenir.
Nouvelle année, nouvelle vie pour des réfugiés rwandais quittant le Pakistan
Muhammad Saïd vivait au Pakistan depuis le début du génocide au Rwanda. Il est rentré dans son pays avec son épouse et leurs quatre enfants nés en exil.